• La Pièce 3, dédiée à la Peinture Italienne, contenant quatre pièces : une salle de repos et les salles 23, 24 et 25.
  Voir le Plan de l'Aile Denon pour voir les verrouillages
  Accès vers la pièce 2 : Verrouillé - Déverrouillage possible
  Accès vers la pièce 5 : Deverrouillé
  
  Devant vous, la salle de repos. Vous pouvez y voir le Buste de Bartolomé Esteban Murillo, par Eugène-André Oudine. Il vous fixe et vous dévisage, comme une vraie personne. Des frissons parcourent votre corps. Vous ne vous sentez pas du tout à l'aise dans cette salle de repos sombre...
  
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  Puis vous arrivez ensuite dans la salle 25 dite Tiepolo, où de nombreuses peintures sont exposées. La seule qui attire votre oeil est Apollon et Daphné, de Giovanni Battista Tiepolo. Il s'agit là d'une oeuvre magnifique, qui vous rassure quelque peu après avoir vu le buste de Murillo.
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  Et puis, arrivé dans la salle 24 "Collection Othon Kaufmann et François Schlageter", sept tableaux semblent fondre sur vous.
  
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  Une jeune femme vous regarde durement, c'est le Portrait de Matilde Querini Da Ponte de Pietro Longi. Vous n'appréciez guère ce regard, mais en regardant de plus près, on pourrait dire qu'elle vous fusille du regard.
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  Un peu plus loin, vous apercevez La Lutte entre l'Allemagne et la France pour la conquête du Rhin de Gianantonio Pelligrini, qui vous met dans une ambiance affreuse, la guerre, la colère... Est-ce là ce qu'il se passera ici ? Vous le découvrirez bien assez tôt...
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  Bacchus et Ariane de Giambattista Pittoni. La Mythologie est très présente ici n'est-ce pas. Ne pensez pas que c'est parce que des dieux sont présents que tout ira bien... Bien au contraire.
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  Le Dieu de la guerre et la Déesse de l'amour, Mars et Venus de Gambattista Pittoni. Faites l'amour pas la guerre. Mais dans le cas présent, faites plutôt la guerre et non l'amour mes chers amis lapinous.
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  Une tombe ? Non... Serait-ce ce qui vous attend au final ? Le Tombeau allégorique de l'archevêque John Tillotson de Giambattista Pittoni fait que des milliers de pensées du même genre traversent votre esprit... La mort vous attend.
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  Saurez-vous résister à la tentation de tuer votre compagnon ? Vos péchés sont déjà représentés sur les peintures... en voici la preuve : la Tentation de Saint Antoine de Sebastiano Ricci. Résistez... ou tuez.
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  Le Satyre et le Paysan de Sebastiano Ricci.
  Le Satyre est un être bien étrange. Mais saurez-vous vous détacher de son emprise ? Il vous raconte beaucoup de choses... Sont-elles vraies ou fausses ?
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Dans la salle suivante, la 23, les tableaux sont manquants. En revanche, vous y trouvez une grande pagaie de gondole, deux bouts de pizzas mous et élastiques, un pistolet en réglisse.

Objets Disponibles :
Armes :


Nourriture :


Note : Lorsque vous prenez un objet, merci de mettre l'image de l'objet dans votre post.
Codes :

Code:

Pagaie : [img]http://img847.imageshack.us/img847/1036/pagaie.png[/img]
Pistolet : [img]http://img808.imageshack.us/img808/6954/pistolet.png[/img]
Pizza : [img]http://img861.imageshack.us/img861/7803/pizzaz.png[/img]

JS entra dans la salle. Au premier coup d'oeil, elle semblait monotone et semblable à celle d'où il sortait. Il décida tout de même d'en faire le tour. La salle principale était plus grande et il semblait y avoir autre chose plus loin. Il ne regarda même pas les tableaux. Et ne vit même pas le corps poignardé qui gisait au milieu, à côté d'un magnifique buste pas-beau-du-tout.
Il passa tout de suite aux autres salles. Dans la première, des tableaux. Il en avait par dessus la tête de ces oeuvres d'arts. Dans la deuxième, pareil. Il failli en poignarder un avec son compas, mais il se retint. Parce qu'il avait vu une autre porte. Barrée. Même en passant frénétiquement sa main sur la serrure qui nécessitait un code barre, rien ne se produisait. Bon. Il passa à l'autre. Un peu partout dans la pièce gisaient pleins de trucs inutiles. Une pagaie. Mouais. Utile pour assommer, mais trop encombrante. Il la prit, mais pour l'amener dans la pièce 5, uniquement. Il se sentait plus à l'aise dans la salle où il s'était réveillé. Mais il ne s'y sentait pas à l'aise pour autant.

Il y avait également un pistolet en réglisse. Complètement absurde. Il n'aimait pas la réglisse. Et deux morceaux de pizzas peu appétissants. Qu'il laissa trainer aussi. Il revint vers sa salle avec la pagaie, donna un coup de pagaie au buste...
Et buta sur un corps endormi.
*Merde, ça va devenir une habitude*
[/color]Bref, il se releva et remarqua tout de suite le code barre sur le front de la femme morte poignardée devant lui. Sans attendre, il la prit sur son épaule et l'amena à la porte. Il failli lui faire éclater le front à force de la cogner sur la porte, sans pourtant que celle-ci s'ouvre. Frustré et se demanda pourquoi, il laissa tomber le corps et retourna vers sa salle, sans manquer de frapper à nouveau le buste de l'aire de repos avec sa pagaie.
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