[08] Pièce 4 La Peinture Espagnole (2)

♛ Sadic is so Chic. ♛

La pièce 4 renferme les salles 27 à 31. A part la salle 31 qui expose des icônes grecques et russes, une fois encore, l'Espagne est à l'honneur.
Voir le Plan de l'Aile Denon pour voir les verrouillages
Accès vers la Pièce 2 : Déverrouillé
Accès vers la Pièce 7 : Déverrouillé
Salle 31. Le Jugement Dernier, venant de Russie. Est-ce que cette œuvre reflète ce qu'il se passe ici ? Survivrez-vous au Jugement Dernier ou vos péchés sont-ils si lourds que vous vous enfoncerez en Enfers ?
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Dans la Salle 30, où réside La peinture en Espagne au XVIIe siècle, la nature morte au poisson vous donne un drôle d'effet. Balthazar Gomes Figueira a très bien représenté ce poisson, dont l'odeur affreuse semble venir jusqu'à vous... Ah non... Il semblerait qu'il y a quelque chose qui sent dans cette salle...
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A côté, l'Infante Marie Marguerite de Diego Velasquez apaise votre esprit. Mais pas pour bien longtemps. Vous vous apercevez qu'il y a deux poissons plein de mouches juste en dessous.
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Votre coeur n'en peut plus, mais Sebastiano De Llano y Valdes décide de vous jouer un sale tour et vous montre la Tête de saint Martyr décapitée. Par malchance, c'est exactement ce que vous trouvez à vos pieds : une tête décapitée. La puanteur que dégage cette tête et les poissons vous donne envie de vomir... N'aggravez pas la situation odorante de la pièce... voyons...
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Vous vous dégagez de cette salle et rejoignez la 29, La peinture en Espagne aux XVIe et XVIIe siècles "Sanchez Coello, Carducho".
Sur le mur, il y a inscrit "Vous finirez ainsi." avec du sang, encore frais.
Trois tableaux sont sous cette inscription : La Crucifixion de Pedro Campana, La Mort de Saint Bruno de Vincente Carducho et le Martyre des chartreux d'Allemagne de Vincente Carducho.
N'ayez crainte, ce n'est qu'une petite vision de l'avenir.
Voir la Peinture - Crucifixion
Voir la Peinture - Mort de St Bruno
Vor la Peinture - Le Martyre
La Salle 28 Huguet - La peinture en Catalogne et en Castille aux XVe et XVIe siècles, ne vous rassure pas plus. Les peintures ont toutes disparues, exceptée La Vierge de douleur de Maître d'Albocacer. Vous vous sentez perdu dans cette pièce plus qu'affreuse...
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Enfin, le comble, dans la salle 27 "Martorell - La peinture à Valence et en Catalogne dans la première moitié du XVe siècle", avec la Décapitation de Saint Georges de Bernat Martorell. Calmez-vous, ce n'est que le début...de tout.
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Objets disponibles :
Nourriture & Inclassables :
[08] Pièce 4 La Peinture Espagnole (2) Poissonodorant

[08] Pièce 4 La Peinture Espagnole (2) Ttedcapite

Note : Si vous prenez un objet, vous devez mettre l'image dans votre sujet :

Code:: Poisson :[img]http://img819.imageshack.us/img819/6228/poissonodorant.png[/img]
Tête : [img]http://img708.imageshack.us/img708/3787/ttedcapite.png[/img]

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Le sommeil de Maxime fut brisé par le froid du sol sur lequel il était allongé. Son réveil fut assez brutal car la première chose fut un mal de crâne horrible. Il avait retenu un cri de douleur lorsque son mal de crâne avait surgit, ça douleur avait disparue aussi vite qu'elle était venue. Lorsqu'il ouvrit les yeux, la première chose qu'il vit fut ... le noir. Il était plongé dans le noir et ne savait pas pourquoi. Il chercha à se souvenir de la soirée qui l'avait conduit à arriver ici mais aucun souvenir ne refit surface et il se dit qu'il fallait peut-être attendre que tout se remette en place dans sa tête.Il décida donc de se lever tout en gardant les yeux fermés et à avancer en ayant les bras tendus vers l'avant pour ne pas se prendre un mur bêtement. Ce qui dérangeait vraiment était l'odeur nauséabonde qui régnait dans la pièce, Maxime en avait parfois envie de vomir mais il préférait ne pas prêter attention à l'odeur et plutôt chercher une sortie. Il commença donc à avancer légèrement et trouva finalement un mur, cela le rassura et il se dit qu'en le longeant il trouverait forcément la sortie. Il commença donc à le longer lorsqu'il toucha quelque chose sur le mur, sur le coup il retira ses mains du mur puis il les reposa et au touché il comprit qu'il s'agissait d'un peinture. Cela lui rappela qu'il était venu au musée du Louvre, invité par le jeu auquel il était devenu accro. Mais ses souvenirs s'arrêtaient là.

Alors qu'il avançait il sentit quelque chose à ses pieds et se baissa pour toucher cette chose. Il y en avait plutôt deux et il s'agissait de deux même choses. Elles ne semblaient pas vivantes, Maxime en prit un et décida de le garder, cela pouvait toujours être utile même si la chose était plutôt visqueuse ce qui faisait penser à Maxime que cela ne serait pas utile. Maxime continua à longer le mur, il ne savait pas si il suivait le même sens que celui qu'il avait prit un peu plus tôt. Au bout d'un petit moment Maxime trébucha sur quelque chose et tomba par terre, il perdit l'objet qu'il avait ramassé et il se releva assez rapidement. Surpris d'avoir cogner dans quelque chose, il regarda vers ce qui l'avait fait tomber et réussit à apercevoir une silhouette humaine allongée. Maxime se précipita sur la silhouette, posa ses mains dessus et la secoua légèrement en disant à haute voix :

"Excusez-moi, vous allez bien ?"

En temps normal Maxime ne se serait jamais précipité sur une personne ainsi mais là il n'y voyait rien et cette personne pouvait peut-être l'aider à se souvenir pourquoi il était ici et l'aider à trouver la sortie.

Invité · **Invité**

" Un jouuur mon priiince... "

Quoi ? On me réveille ? fit elle, somnolente, plongée à moitié dans son rêve.
Elle ressentie une douleur lancinante au niveau des reins et au niveau de la nuque.
Aïe !
Juliane ouvrit de gros yeux ronds. Mais... Elle ne vit rien. Elle essaya de les ouvrir plus. Noir, toujours. Elle se releva en un éclair, se recoiffant rapidement, caressant les parties douloureuses de son corps et demanda qu'on allume la lumière. Des mains chaudes se posèrent sur Juliane et un agréable souffle d'air frais s'abattit sur le visage de la jeune fille aux yeux bleus.

"Excusez-moi, vous allez bien ?"

Juliane ne savait pas trop. Elle était aveugle, avec une petite gueule de bois. Et oui, il ne lui en faut pas beaucoup pour être pompette.

" J'imagine que oui. Et vous ? Enfin... Si vous êtes bien humain et que je suis toujours en vie... "

Elle prit sa tête dans ses mains, comme pour se remettre les idées en place, et réfléchit. Pourquoi se trouvait-elle là, dans la quasi obscurité, au sol froid et accompagnée ? D'elle ne savait quoi à vrai dire. Elle se releva difficilement, étant sûre que le plafond allait être assez haut. Elle se rhabilla rapidement. En effet, les robes étaient assez problématiques si elles étaient relevées. Elle plissa ses yeux, comme pour trouver de la lumière et s'arrêta sur une silhouette humaine à première vue. Elle se souvenait de la soirée, de l'horrible scène à laquelle plus d'une dizaine de personnes avaient assistées, et de ce coup malchanceux qui la fit projetée au sol, dans les vapes. Sans plus attendre, elle s'échappa des ses pensées pour se concentrer sur quelque chose d'externe à la situation. Juliane ne voulait pas se souvenir. Ainsi, elle se concentra sur la silhouette vue auparavant, mais ne parvint qu'à remarquer une peinture hideuse accrochée au mur.

" Tiens, on est encore au Louvre finalement ? "

Déduction rapide, du fait qu'elle détestait au plus haut point cette toile immonde nommée Le Jugement Dernier. Moche, moche, moche, trop rouge, trop vieux et pas esthétique. Mais bon, elle respectait quand même cette toile par son sujet exprimée, le jugement par lequel tout homme passera un jour. Ce n'était pas du fait de son éducation religieuse qu'elle y croyait, plus parce que cela semblait si logique qu'un Dieu existait et allait juger chacun pour ses actions. Des questions existentielles se pressèrent dans la carcasse qui servait de cerveau à Juliane. Que va-t-il lui arriver ? Va-t-on la punir d'avoir volé un tube de mascara dans le magasin qu'elle adorait ? Allait-on l'envoyer en enfer pour avoir menti à ses copines en disant qu'elle n'était plus amoureuse de son ex ? Allait-elle être puni ici-même par ce kidnappeur ?... Parce que bien entendu, c'était un kidnappeur psychopathe qui était l'auteur de ce plan machiavélique. Des tonnes que questions auquelles Juliane répondait naïvement en soliloquant. Pendant plusieurs instants elle resta bloqué sur cette toile pendant quelques temps, la tête dans ses pensées, jusqu'à la réponse de cette silhouette qu'elle avait presque oubliée.

♛ Sadic is so Chic. ♛

Voilà déjà quelques heures que Maxime et Juliane sont réveillés... La lune leur permet de voir dans cet endroit sombre. Cependant, durant l'espace d'une seconde, le ciel se couvrit. La lune fut alors voilée et tout s'assombrit. Tout...
Le Louvre fut plongé dans le noir et des bruits de pas se firent entendre.

Juliane ne voyait plus rien. Elle ressentit alors une atmosphère lourde, comme s'il allait se passer quelque chose.
Était-ce cet homme, qui était avec elle, qui dégageait cela ?
Elle ne savait pas. Elle n'osait même pas émettre un seul son. La jeune femme se sentait étranglée, par la peur.
"Il va se passer quelque chose de mauvais", se répétait-elle.

Doucement et par réflexe, elle recula, jusqu'à atteindre quelque chose.

Quelque chose ?
Non, c'était quelqu'un.
Un homme ou une femme, ou un être de forme humaine, elle ne savait pas.

Elle entendit alors un petit rire sournois : "Héhé...", près de son oreille.
Cette personne la suivait et ne cessait de lui murmurer de façon à ce que personne d'autre n'entende : "Je vais te couper la tête ma jolie...".
"AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAH"
La seconde qui suivit, on put entendre le bruit d'une hâche.

Lorsque la lumière fut, on pu retrouver la tête de Juliane, les larmes brillant au clair de lune, et son corps, un peu plus loin.
La hache était encore là.
On pouvait également observer une grosse flaque de sang en forme de cœur, rappelant le célèbre ordre d'une certaine Reine :
"Qu'on lui coupe la tête !".

Joueuse Juliane Ryven éliminée || Cause : décapitée par les Loups

Invité · **Invité**

La voix qui répondit à Maxime fut une voix de fille. Maxime fut heureux de savoir que la personne n'était pas morte et d'après ce qu'elle disait elle allait bien. Maxime émit un soupir de soulagement puis comme la jeune fille dit qu'elle allait bien si elle était toujours en vie. Maxime hésita à répondre, il se dit que la réponse était assez logique sinon il ne lui aurait pas demandé comme elle allait. Il vit la silhouette se relevée, puis la jeune fille demanda si ils étaient encore au Louvre. Maxime supposa que la jeune fille se souvenait donc de ce qui c'était passé durant la soirée et il voulut lui demander mais la lumière très faible existante disparut. Cela arrêta Maxime dans son élan pour demander, il eut des frissons lorsque le noir fit place dans la pièce. Maxime recula instinctivement, il sentait quelque chose d'étrange mais il ne savait pas quoi et son corps avait reculé sans qu'il s'en rende vraiment compte. Puis il crût entendre une voix, différente de celle de la jeune fille. Cela donna d'énormes frissons à Maxime, il pensa :

*Alors nous ne sommes pas seuls ?*

Un cri fit irruption pendant la réflexion de Maxime, ensuite un coup de hache puis plus rien. Le calme était revenu. Le cri était celui de la jeune fille. La légère lumière revint, Maxime put observé quelque chose sur le sol. Il s'approcha de ce qui se trouvait sur le sol et il découvrit avec horreur qu'il s'agissait de la tête de la jeune fille. Il en tomba sur les fesses, Maxime resta quelques instants face à la tête en se disant qu'elle s'était fait tuée alors qu'il se trouvait à côté, en se disant qu'il aurait pu la sauver si il s'était dirigé vers elle plutôt que de reculer de quelques pas. Il remarqua en restant face à la tête qu'à côté se trouvait une flaque de sang en forme de cœur. Cela lui rappela quelque chose, vous me demanderez quoi, et bien je vous répondrais que cela lui rappelait tout simplement une histoire bien connue, celle d'Alice au pays des merveilles. Maxime se releva assez vite, il fallait qu'il sorte d'ici avant que quelqu'un ne le découvre avec le cadavre et l'accuse d'avoir commit ce meurtre. Ainsi li partit à l'opposé de la tête avant de finalement trouvé une porte.

(direction salle 7)

♂ Mister Virilité

La sortie. Il fallait penser à la sortie et à rien d'autre. Rien, car cette pièce présenterait surement une scène comme celle qu'on avait présenté aux "invités" du musée, il y avait.. deux ? Trois jours ?
En mettant le pied dans la salle, Adam ferma les yeux et prit une grande inspiration, puis les ouvrit, balayant la salle du regard pour s'assurer qu'aucun meurtrier ne se trouvait dans les parages. Le truc, c'est qu'il faisait complètement noir, il ne distinguait rien, pas même ses mains. Puis, soudain, la lumière s'ouvrit.
- AAAAAAAAAAAAAAAAAAHHHHHHH !
...et se referma pour un prochain 10 secondes dans la noirceur. Un espèce de stroboscope morbide et déjanté.
Oh mon dieu ! Oh mon dieu !
La femme était bel et bien là, mais décapitée, son corps baignant littéralement dans son sang et sa tête était postée deux mètre plus loin.
C'est horrible ! C'est affreux !
Oui, Adam s'attendait à une scène de ce genre en mettant le pied dans la pièce.. Mais à ce point ? Non. Jamais il n'aurait pensé qu'on puisse infliger de telle choses à un être humain ! ET ÇA S'ÉTAIT PRODUIT À QUELQUES MÈTRES DE LUI ?! Il avait survécu.. grâce à un simple petit mur se dressant entre eux deux ?!
La nausée lui remontait à la gorge mais comme il n'avait plus rien dans l'estomac elle n'eut pas lieu, ne laissant qu'un affreux mal de coeur au garçon qui venait de voir ces images.
Il lui fallait avancer maintenant sortir de cette pièce, l'odeur du sang était irrespirable, et les gens qui l'accompagnaient infréquantable, ça c'était certain.
Se bouchant le nez, Adam continua à avancer, mais quelqu'un surgit dans la pièce derrière lui. Sans réfléchir il prit le premier objet à sa disposition: la hache ayant tué la femme qu'il venait de voir.
- N'APPROCHE PAS ! dit-il en se retournant subitement, la hache au bout des bras, prêt à l'abattre sur la tête du meurtrier.
L'éclat de folie dans ses yeux s'étendit aussitôt lorsque la lumière se ralluma et qu'il croisa le regard effrayé d'Odorechan. Ses forces l'abandonnèrent et il laissa s'effondrer la hache sur le sol, entre ses deux pieds, sans en lâcher le manche.
Il fixait la femme qui se trouvait debout devant la porte pendant un instant qui lui parut durer une éternité, et des larmes coulèrent sur ses joues, de plus en plus. Il criait de douleur, de peur, de haine envers le meurtrier. Il criait pour sa vie qui allait sans doute se terminer.

*Date d'Arrivée : 05/06/2011*

Odorechan entra dans la pièce précipitamment, elle eut peine le temps de voir le corps que quelqu'un cria:

- N'APPROCHE PAS !

Elle reconnu la voix d'Adam, elle tourna la tête dans sa direction, de peur qu'il ne s'adresse à quelqu'un d'autre. mais personne ne se trouvait dans cette pièce hormis eux deux. Adam se retourna vers elle, il la reconnu, laissa tomber au sol la hache ensanglanté qu'il avait dans les mains. Une larme coula sur sa joue.
Il avait l'air à bout de force et paniqué, il était tant que tout cela finisse, elle ne voulait pas finir dans le même état. Elle commençait à sentir la peur et l'état de nervosité du jeune homme en elle. Ses sentiments devenaient petit à petit, au fur et a mesure qu'il la fixait, les siens.
NON! C'était hors de question qu'elle cède à la panique. Totalement hors de question! Elle se ferma complètement. Revêtant son masque froid et distant. Elle ne pouvait pas rester la sans rien faire, et bizarrement elle ne voulait pas le laisser comme ça non plus!
Elle se précipita vers le fond de la salle pour explorer vite fait celle-ci, en passant à côté d'Adam elle ralentit et lui fit un léger sourire du coin des lèvres. Elle courrait presque. Au fond de la salle elle vit une autre porte. Aucun mécanisme ne permettait de savoir si celle-ci était fermé. Il fallait tenter le tout pour le tout et sortir de cette salle. Elle fit demi tour en courant. Elle s'arrêta devant Adam à une distance assez importante pour le rassurer et elle aussi. Elle tendit la main pour lui attraper le poignet de la main qui tenais encore a trois doigts le manche de la hache.

-Adam! Il fut qu'on sorte de cette salle! C'est bien plus qu'on ne peut supporter après ce qui vient de se passer. Au fond de la salle il y a une porte. On verra bien où elle nous mène! Suis moi s'il te plait, qu'on sorte de cette pièce.

Elle glissa sa main dans celle d'Adam pour lui faire lâcher la hache. Qui en plus manifestement avait servit à tuer la jeune femme. Puis elle l'entraina avec elle vers l'arrière de la salle et peut être se rapprocher de la sortie.

Ils avaient à peine fait demi tour que la porte derrière eux s'ouvrit. Elle tourna la tête, le plus fermée possible pour ne pas céder à la panique.
Maxime venait se franchir la porte. Pourquoi est-ce qu'ils les suivaient? Pourquoi revenait-il dans cette pièce?
Elle donna un coup de pied dans la hache, juste au cas où, assez fort pour qu'elle se retrouve loin d'eux et loin de toute possibilité. Celle-ci fut poussée assez loin pour se retrouver dans l'ombre dans un coin de la salle. Elle releva la tête, une fois bien assuré que la hache était hors de portée et qu'à présent il faudrait même la chercher pour la retrouver. Ce n'était peut -être pas malin, car elle ne pourrait plus se défendre, mais au moins Le nouveau arrivé ne pourrait l'utiliser non plus!
Elle se ferma à nouveau et regard droit dans les yeux Maxime:

-Pourquoi tu es là?

Elle gardait à l'esprit la porte qu'elle avait vu plus loin, pour pouvoir se sauver si la réponse ne lui convenait pas.

Invité · **Invité**

Lorsque Maxime se retrouva de nouveau dans la pièce, il fut tout d'abord assailli par l'odeur qui y régnait. Puis il entendit quelqu'un frappé dans quelque chose, il vit quelque chose d'assez grand glissé assez loin sur le sol.Maxime put reconnaitre la hache à sa forme, il leva les yeux et vit deux silhouettes. Il semblait que ce soit la jeune fille qui avait cogné dans la hache, celle-ci semblait vraiment pensé qu'il était le meurtrier. Puis vint la question à laquelle il s'attendait, la question qui lui demandait pourquoi il était dans cette pièce. Il était vrai que revenir n'était pas très réfléchit, elle avait dû penser que Maxime était revenu pour se débarrasser d'eux avec la hache mais il ne s'agissait pas du tout de ça. C'était la première fois que Maxime ne réfléchissait pas avant de faire quelque chose et il se rendit compte que c'était assez dangereux dans la position où il se trouvait en ce moment. Maxime fit en sorte de ne pas avoir le cadavre dans son champ de vision, la vu du cadavre lui donnait des frissons ainsi qu'un sentiment de remord et de la peur. Maxime répondit à la jeune fille sur un ton calme :

"Je suis revenu car je pense qu'il vaut mieux être au moins trois dans une même pièce plutôt que deux."

Maxime hésitait à dire ce qu'il pensait, il s'agissait d'un moyen d'enlever le doute qui pouvait peser sur lui mais cela pouvait faire naître le doute par rapport à chacun et il n'avait pas vraiment envie de ça. Maxime avança pour s'éloigner de la porte puis il se décida à dire ce qu'il pensait :

"Je sais ce que vous pensez de moi et je tiens à vous dire que je ne suis pas le meurtrier de cette fille. Je pense qu'il s'agit d'une personne qui n'avait qu'une porte à passer pour la tuer, je pense donc qu'il vaut mieux qu'il y ait au moins trois personnes dans une même pièce ainsi si l'une d'entre elles est le le meurtrier il aura plus de difficultés avec deux personnes."

Sur le début de sa réplique Maxime avait parlé avec un peu de colère dans la voix, le fait qu'on puisse l'accuser d'avoir commit ce crime l'énervait vraiment car il se savait incapable de faire une telle chose. Maxime préférait se méfier de la jeune fille, elle restait impassible même après avoir vu le cadavre qui se trouvait dans cette pièce.

♂ Mister Virilité

Adam ne contrôlait plus les larmes qui coulaient sur ses joues, il n'avait plus d'énergie, et avait plus que jamais la peur au ventre.
Odorechan s'approcha de lui en lui adressant un timide sourire, puis lui prit la main, lui faisant lâcher la hache, et tenta de le rassurer.
- Adam ! Il faut qu'on sorte de cette salle ! C'est bien plus qu'on ne peut supporter après ce qui vient de se passer. Au fond de la salle il y a une porte. On verra bien où elle nous mène ! Suis moi s'il te plait, qu'on sorte de cette pièce.
Adam la suivit sans rien dire et ils se rendirent au fond de la salle, où se trouvait la fameuse porte. Mais au moment où la jeune femme posait la main sur la poignée, la porte près du cadavre s'ouvrit. Les deux "partenaires" se retournèrent subitement, pour apercevoir l'homme qui avait sans doute tué la femme se trouvant dans cette pièce. Adam était fou de rage. Pourquoi les suivait-ils ? Ses larmes arrêtèrent de couler.
- Pourquoi tu es là ?
L'homme fuyait manifestement le cadavre des yeux. Était-ce parce qu'il regrettait maintenant ses actes ? C'était un peu trop tard maintenant pour penser à ça.
- Je sais ce que vous pensez de moi et je tiens à vous dire que je ne suis pas le meurtrier de cette fille. Je pense qu'il s'agit d'une personne qui n'avait qu'une porte à passer pour la tuer, je pense donc qu'il vaut mieux qu'il y ait au moins trois personnes dans une même pièce ainsi si l'une d'entre elles est le le meurtrier il aura plus de difficultés avec deux personnes.
Je pense, je pense ! Il voulait bien arrêter de penser et les laisser sortir d'ici ? Cet homme ne donnait aucunement envie à Adam de le connaître, en fait, l'adolescent l'évitait comme la peste. Alors pourquoi fallait-il qui les suive ?!
Trois personnes dans une même pièce hein ? Une femme et un adolescent frêle ! Dur dur à tuer ! Salopard !
Alors qu'il allait lui dire ce qu'il pensait, une autre personne se manifesta dans pièce. Derrière le "tueur" une femme apparut. Visiblement, c'était celle qui se trouvait dans la pièce qu'ils venaient tous de quitter. C'en était trop, Adam explosa.
- IL ES HORS DE QUESTION QUE JE RESTE UNE MINUTE DE PLUS DANS LA MÊME PIÈCE QUE VOUS QUATRE BON SANG ! JE N'AI PAS CONFIANCE EN VOUS DU TOUT !
Je n'attendrai pas sagement avec vous qu'on me poignarde le dos !
Sur ce, il quitta le groupe, avançant à tâtons dans le noir complet pour quelques secondes de lumière, se rendant déterminé à la porte où il pénétra avant de jeter un regard aussi noir que désorienté.

[Passage à la salle 2]

*Date d'Arrivée : 25/04/2011*

Edya arriva dans la pièce. C'était une horreur, la jeune femme était comme la première victime c'est à dire décapité mais cette fois ci le sang avait faire une drôle de forme : en cœur..... Avait-t-il une signification ? La forme était trop précise pour cela fut aléatoirement. La vue du sang ne lui faisait pas peur mais cette odeur... elle ne pouvait pas tenir.

- Oh mon dieu ! C'est horrible ! Qui a pu bien faire cela ?

Le premier nom était celui de maxime car cela était très étrange qu'il n'avait rien vu alors qu'il était dans la même pièce qu'elle et le meurtrier.

- Je sais ce que vous pensez de moi et je tiens à vous dire que je ne suis pas le meurtrier de cette fille. Je pense qu'il s'agit d'une personne qui n'avait qu'une porte à passer pour la tuer, je pense donc qu'il vaut mieux qu'il y ait au moins trois personnes dans une même pièce ainsi si l'une d'entre elles est le le meurtrier il aura plus de difficultés avec deux personnes.

Cela était logique qu'il n'était pas le meurtrier enfin d'après elle car il faisait de lui un suspect trop évident et que tout le monde allait tomber dans le panneau. Mais elle pensait que cela serait plus compliqué que la situation mise en relief.
J'en peux plus de l'odeur, cela me retourne l'estomac en plus j'ai rien mangé depuis un moment.
Elle n'était pas la première à craquer : Adam n'en pouvait plus de la situation et ce qui était normal.

- IL EST HORS DE QUESTION QUE JE RESTE UNE MINUTE DE PLUS DANS LA MÊME PIÈCE QUE VOUS QUATRE BON SANG ! JE N'AI PAS CONFIANCE EN VOUS DU TOUT !

Elle n'ont plus ne pouvait supporter la situation et en plus la pièce était assez petite enfin plutôt dans la largeur que dans la longueur par rapport à la pièce où elle c'était réveillée en plus elle avait de plus en plus de mal à respirer correctement et déclara :

- Ah je ne tiens plus faut que je change de pièce et tout de suite !!!

Elle partit en courant vers la pièce qu'Adam avait emprunté sans faire attention.

[Passage à la pièce 2]

*Date d'Arrivée : 05/06/2011*

Ce que Adam avait rétorqué lui avais fait un peu l'effet d'une claque... Il était paniqué et agissait sous la pression, mais de là a vouloir se retrouver tout seul. Il devenait fou! Qu'est-ce qu'il cherchait au juste!
La jeune femme qui les accompagnait le suivit, elle ne supportait plus cette pièce, ce qui se comprenait vu l'odeur...
Mais elle ne voulait pas les suivre pour le moment... Elle voulait comprendre ce qui pouvait bien se passer dans la tête de chacun... La théorie de Maxime se tenait, s'ils étaient dans une pièce à 3 et que l'un d'eux se faisait tué, alors les soupçons serait sur lui. Edya a du suivre en suivant cette logique et ne pas rester seul avec l'autre homme. Mais enfin à quoi Adam pensait...
Elle réfléchissait et ne parvenais pas à comprendre ce qui se passait dans sa tête...
A moins que la vision de la jeune fille... sur laquelle elle n'avait même pas voulu posé un oeil... l'avait trop chamboulé comme elle l'avait deviner plus tôt...
Mais enfin il aurait dû s'y attendre... Tout le monde avait deviner ce qui s'était passé ici... Et pourquoi était-il rentré dans cette salle en particulier? .... là, pour une fois elle n'arrivait pas à le suivre.

-Je ne le comprend pas!... Il n'arrive à faire confiance, même juste un peu... à personne! Alors que j'essaie de lui montrer qu'il peut, juste un peu, me faire confiance... Marmonna-t-elle pour elle même.

-AAAAAh! Il m'énerve! J'abandonne!... Qu'il se débrouille! Cria-t-elle.

Elle leva les yeux vers maxime, une larme coulait sur la joue de la jeune fille. Il fallait que le trop plein sorte. Elle dit:

-Je suppose que si tu étais le meurtrier tu m'aurais déjà tué... et en même temps ça serais pas malin, ça te rendrais encore plus coupable... Alors je pense pas prendre trop de risque en restant un peu....

Puis elle s'adossa contre un mur, les yeux dans le vague. Elle tourna légèrement la tête.

-Je comprendrais que tu ne veuilles pas rester dans cette pièce, je le supporte pas plus que toi, et j'imagine que tu me fais pas confiance non plus, mais est-ce que tu veux bien rester un petit peu avec moi, le temps que je me calme et après on les suit? L'idée de retourner en arrière ne m'a jamais plut!

Puis en attendant la réponse de Maxime, elle retourna la tête en face d'elle, fixant la tableau devant elle, sans vraiment le voir. Perdu dans ses pensées. Et les yeux vide.

Invité · **Invité**

Une fois que Maxime eut fini de parlé, le garçon dit qu'il était hors de question qu'il reste avec eux. Maxime supposa qu'il n'en pouvait plus car depuis qu'il était arrivé dans cette pièce le jeune homme n'avait pas arrêter de crier lorsqu'il s'adressait aux autres. Puis Maxime remarqua la présence d'Edya une fois que celle-ci parti à la suite du jeune homme. A présent Maxime se retrouvait seul avec la jeune femme. Ce qui surpris Maxime fut la réaction de la jeune femme, elle qui c'était précipitée pour suivre le jeune garçon la dernière fois avait préféré rester un peu dans cette pièce. Maxime avait compris que ce qu'avait dit le garçon l'avait blessé et peut-être ne voulait-elle seulement pas le montré et c'est pour ça qu'elle préférait rester dans une pièce sombre. Elle avait demandé à Maxime de rester avec elle et Maxime lui répondit :

"Si c'est juste le temps que tu te calme alors ça ne me dérange pas de rester un peu, je ne voudrais pas que tu te retrouves seule et surtout dans cet état."

Maxime alla lui aussi s'adosser au mur, il s'était rapproché de la jeune fille mais sans pour autant être à côté d'elle car tant qu'il avait des doutes il préférait garder une certaine distance. Maxime se mit à réfléchir à quelque chose qui pourrait remonter le moral de la jeune fille, il se doutait que les parole du jeune homme avait été dures pour elle. Finalement il trouva quelque chose à dire :

"Tu sais, malgré ce qu'il a pu dire je pense qu'il te fait confiance. Et je pense que si toi tu lui fait confiance tu devrais rester auprès de lui, même si tu dois entendre les pires atrocités possibles de sa bouche il faut que tu continues à lui faire confiance. Ne l'abandonne pas quoi qu'il arrive sinon il fera quelque chose qu'il pourrait regretter et tu culpabiliseras."

Un sourire apparu sur le visage de Maxime, ce n'était pas vraiment le moment de sourire surtout après ce qu'il venait de dire, lui qui avait lui même dit qu'il ne faisait confiance à aucun d'eux était en train de donner une leçon la dessus. Maxime s'éloigna du mur, il se retourna vers la jeune fille et lui dit, toujours un léger sourire sur les lèvres :

"Tu dois trouver bizarre d'entendre ça de la bouche de quelqu'un qui se méfie de tout le monde mais je pense ce que je dis, j'espère juste ne pas m'être trompé sur le gars en qui tu as confiance."

Maxime tendit sa main à la jeune femme :

"On les rejoint ?"

Il ne lui en voudrait pas si elle repoussait sa main, il comprendrait tout à fait. Il avait fait se geste car il pensait que ça montrerait qu'il n'est pas dangereux et puis il le faisait surtout ce geste en espérant que cela la calmerait un peu et lui faire comprendre qu'il serait là pour lui remonter le moral si elle en avait besoin.

*Date d'Arrivée : 05/06/2011*

-Si c'est juste le temps que tu te calme alors ça ne me dérange pas de rester un peu, je ne voudrais pas que tu te retrouves seule et surtout dans cet état.

Elle apprécia le geste, il était plutôt compréhensif... Elle commençait à l'apprécier, elle avais trouvé ça exagéré de le placer en coupable. Il fallait s'en méfier certes, mais en même temps comme toute les personnes ici, qui pouvait lui prouver qu'il était plus coupable que n'importe qui d'autres. Personne! Et c'était bien ça le problème.

-Je ne trouve pas ça bizarre que tu ne fasses confiance à personne.. Bien au contraire! C'est l'inverse que je trouverais étrange.

Elle tourna la tête et le regarda dans les yeux.

-Personne ne fais confiance à personne. Je n'ai pas plus confiance en lui, que lui dans l'autre sens. Mais je pense qu'on devrais se faire assez confiance, même si ce n'est que très peu, pour s'entraider un minimum. Et avec Adam, c'est plus ou moins ce qui se passait... Et crois moi pour ne pas devenir fou c'est bien agréable.

Le jeune homme lui tendait toujours la main. Elle fixait cette main, qui semblait si innocente, si tentante... elle en avait assez de se méfier de tout et de tout le monde... mais elle ne voulait pas signer son arrêt de mort non plus...

-Je ne te fais vraiment confiance... Tout comme toi dans l'autre sens. Tout comme tout le monde. Mais sans personne à nos côtés on sen sortira jamais.

Elle tendit la main vers celle que maxime lui tendait. Mais avant de la saisir, elle le fixa plus que jamais. Ce qui lui donna un air un peu trop solennel qu'elle ne l'aurait voulu, et un peu plus froid qu'elle ne l'aurait voulu. Elle se noya dans les yeux de maxime.

- J'accepte ton aide. Et j'espère que tu ne m'en voudras pas, de garder tout de même mes distances!

Elle saisit sa main, et l'entraina vers la porte qu'Adam et Edya venait d'emprunter.
Tout en regardant droit devant elle, elle eut un petit sourire, du coin des lèvres et dit:

-Y a plus qu'a ...

*Date d'Arrivée : 05/06/2011*

-Si c'est juste le temps que tu te calme alors ça ne me dérange pas de rester un peu, je ne voudrais pas que tu te retrouves seule et surtout dans cet état.

Elle apprécia le geste, il était plutôt compréhensif... Elle commençait à l'apprécier, elle avais trouvé ça exagéré de le placer en coupable. Il fallait s'en méfier certes, mais en même temps comme toute les personnes ici, qui pouvait lui prouver qu'il était plus coupable que n'importe qui d'autres. Personne! Et c'était bien ça le problème.

-Je ne trouve pas ça bizarre que tu ne fasses confiance à personne.. Bien au contraire! C'est l'inverse que je trouverais étrange.

Elle tourna la tête et le regarda dans les yeux.

-Personne ne fais confiance à personne. Je n'ai pas plus confiance en lui, que lui dans l'autre sens. Mais je pense qu'on devrais se faire assez confiance, même si ce n'est que très peu, pour s'entraider un minimum. Et avec Adam, c'est plus ou moins ce qui se passait... Et crois moi pour ne pas devenir fou c'est bien agréable.

Le jeune homme lui tendait toujours la main. Elle fixait cette main, qui semblait si innocente, si tentante... elle en avait assez de se méfier de tout et de tout le monde... mais elle ne voulait pas signer son arrêt de mort non plus...

-Je ne te fais vraiment confiance... Tout comme toi dans l'autre sens. Tout comme tout le monde. Mais sans personne à nos côtés on sen sortira jamais.

Elle tendit la main vers celle que maxime lui tendait. Mais avant de la saisir, elle le fixa plus que jamais. Ce qui lui donna un air un peu trop solennel qu'elle ne l'aurait voulu, et un peu plus froid qu'elle ne l'aurait voulu. Elle se noya dans les yeux de maxime.

- J'accepte ton aide. Et j'espère que tu ne m'en voudras pas, de garder tout de même mes distances!

Elle saisit sa main, et l'entraina vers la porte qu'Adam et Edya venait d'emprunter.
Tout en regardant droit devant elle, elle eut un petit sourire, du coin des lèvres et dit:

-Y a plus qu'a ...

Invité · **Invité**

Maxime écoute la jeune femme parler, il se disait qu'elle avait raison sur le fait qu'on ne pouvait pas faire entièrement confiance à une personne dans la situation où ils se trouvaient. Maxime se demanda même si ce n'était pas plutôt une sorte de réconfort qu'on cherchait à avoir plutôt qu'une confiance pour s'entraider. Comme elle l'avait dit cela nous permet de ne pas devenir fou donc peut-être est-ce juste le fait de ne pas être le seul à être dans cette situation et donc cela nous permet de dire ce que l'on ressent. Puis la jeune fille fut assez directe en disant qu'elle ne lui faisait pas vraiment confiance, Maxime le savait mais peut-être lui avait-elle redit car il lui avait tendu une main. Maxime vit la jeune femme diriger sa main vers la sienne, il fixa alors la fille et son regard croisa le sien. Maxime remarqua que le regard était assez froid, il espérait que cela aurait baissé la tension entre eux mais cela n'avait pas semblé être le cas. Elle finit par dire qu'elle acceptait son aide mais qu'elle garderait tout de même ses distances. Maxime acquiesça avec la tête, lui même comptais garder quelques distances alors c'était tout aussi bien si elle faisait de même. La jeune fille entraina Maxime vers la salle où c'étaient rendus Edya et Adam. Maxime avait su le nom du garçon grâce à la conversation qu'il avait eut avec la jeune femme. Enfin si il pouvait appeler ça conversation car ils n'avaient parlé que quelques instants. Pendant qu'elle l'entrainait, Maxime crû voir un léger sourire sur les lèvres de la jeune fille. Il faisait assez sombre c'est pourquoi Maxime n'en était pas complètement sûr. La jeune femme commença à parler puis s'arrêta dans sa phrase, Maxime ne comprit pas pourquoi et il demanda :

"Quelque chose ne va pas ? Pourquoi t'être arrêtée pendant ta phrase ?"

Sur le moment une des idées qui traversa l'esprit de Maxime fut qu'elle aurait pu voir quelqu'un de mort et rester choquée, si c'était ça alors il s'agissait d'Adam ou Edya. Maxime secoua légèrement la tête, il ne fallait pas qu'il pense ce genre de choses et qu'il positive un maximum en se disant que la sortie n'était pas très loin.

*Date d'Arrivée : 05/06/2011*

"Quelque chose ne va pas ? Pourquoi t'être arrêtée pendant ta phrase ?"

Odorechan secoua la tête pour reprendre ses esprits, sa main dans elle de Maxime se crispa un peu. Ce n'était pas le moment de craquer, ni que ses problèmes de santé ne viennent empirer les choses. Elle resta un moment figé, crispé. Puis la chaleur se dégageant de la main de Maxime l'apaisa, elle ferma les yeux respira profondément et son coeur s' apaisa.

-Euh... non rien désolé!... On continue?

Ne lui laissant pas le temps de réfléchir, elle l'entraina avec elle vers la porte. Une fois devant la porte elle posa sa main sur la poignet, l'autre toujours dans celle de Maxime. Ce n'était peut-être pas grand chose mais cette main l'apaisait, alors ne voulait pas la lâcher tout de suite. Pas temps qu'elle n'était pas totalement calmer.
Avant d'ouvrir la porte elle tourna la tête vers Maxime, un peu hésitante:

-Euh... tu m'as proposé ton aide.... ce n'est pas mon genre d'accepter mais bon... j'apprécie! Et est-ce que je pourrais continuer de t'emprunter ta main un petit peu? Je suis encore un peu secouée de tout ce qui vient de se passer, et ça m'apaise! Aussi bizarre que ça puisse paraître...

Elle attendit sa réponse, prête à pousser la porte, et à rejoindre Adam et Edya!

Invité · **Invité**

Maxime sentit la main de la jeune femme se crispée, cela l'étonna. Maxime ne savait pas ce qui pouvait avoir causé ça, il supposa tout de même plusieurs choses, cela pouvait être dû à la fatigue car on ne voyait pas le temps passer alors il était impossible de savoir si plusieurs heures ou même plusieurs jours s'étaient écoulés depuis leur réveil. Il supposa aussi que cela pouvait être dû à la peur de ce qui pourrait les attendre derrière la porte ou même parce qu'elle gardait tout pour elle et que cela l'affectait encore plus. Puis la jeune femme répondit finalement qu'elle n'avait rien. Maxime ne dit rien de plus, il ne la connaissait pas et vu la confiance que tout le monde se portait ici il valait mieux ne pas en demander d'avantage. Maxime se laissa entrainer vers la porte. Une fois devant la porte, la fille demanda à Maxime si il pouvait continuer à lui tenir la main car elle se sentait encore secouée. Cela surprit légèrement Maxime, au fond il était assez content car cela montrait que les personnes se trouvant enfermées ici pouvaient travailler ensemble et essayer de se faire un minimum confiance. Maxime se mit à sourire légèrement puis répondit :

"Tu peux continuer à l'emprunter tant que ça ne va pas, et sache que ma main sera toujours disponible si tu en as de nouveau besoin de réconfort."

Maxime en faisait peut-être un peu trop mais il préférait ça que de juste acquiescé. A présent il fixait la porte, attendant que la jeune fille ouvre. Mais juste avant que celle-ci n'ouvre la porte il lui demanda :

"Pourrais-je juste avoir ton nom avant qu'on les rejoigne ?"

*Date d'Arrivée : 05/06/2011*

La réponse de maxime l'a toucha. Peut-être pouvait-elle enfin compter sur quelqu'un... Même si les soupçons et le doute planait et même si ce n'était qu'un peu.
Il lui dit ensuite:

-"Pourrais-je juste avoir ton nom avant qu'on les rejoigne ?"

Elle le regarda dans les yeux, et avec un petit sourire lui dit:

-Odorechan! Je m'appelle Odorechan!

Ses yeux devaient montrer à qu'elle point ça la soulageait et à qu'elle point elle était reconnaissante.
Elle se tourna enfin face à la porte, le regard droit devant elle, et elle poussa sur la poignée. La porte s'ouvrit.
Odorechan reserra son étreinte, et avança.

(passage dans la salle 2)

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