• La Pièce 5, met en avant une fois encore, la Peinture Italienne. Ce sont les salles 19 à 22 qui la compose.
  Voir le Plan de l'Aile Denon pour voir les verrouillages
  Accès vers la pièce 3 : déverrouillé
  Accès vers la pièce 6 : verrouillé - déverrouillage possible.
  
  Vous avancez... et vous apercevez, dans la salle 22, La Fille de Jephté de Giuseppe Bazzani. Le sujet biblique est tiré du Livre des Juges (11, 34) : après avoir défait les Ammonites, Jephté dut accomplir un voeu imprudent selon lequel, s'il remportait la victoire, il offrirait en sacrifice la première personne sortant de sa maison pour venir à sa rencontre ; ce fut sa fille unique, "dansant et jouant du tambourin", et Jephté se vit contraint d'exécuter son voeu. Ne soyez pas trop imprudents ... ou vous le regretterez vite.
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  A côté de cette pauvre jeune fille, le Martyre de sainte Agathe de Mariano Rossi. N'ayez crainte, ce n'est qu'un petit moment à passer...
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  Dans la salle 21, rien n'attire votre attention, si ce n'est un compas. Que fait-il là ? Il y a aussi un pot de crayon et du papier. Rofl, le papier est tâché de sang. Vous ne pourrez pas dessiner dessus.
  
  Arrive ensuite la Salle 20 "Maratta - La peinture à Rome au XVIIIe siècle"
  Vous y voyez Lucrèce pleurant sa disgrâce de Andrea Casali, et cela vous bouleverse complètement. Vous ne savez pas pourquoi, mais vous vous sentez très mal, à un tel point que vous pourriez agresser votre prochain.
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  A côté de Lucrèce, Daniel Seiter vous dévoile Diane auprès du cadavre d'Orion. Peut-être qu'après avoir agressé votre cher ami, vous serez dans le même état d'esprit que cette magnifique déesse qu'est Diane. Rien n'est impossible ici... dans le monde de Rabbit Doubt.
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  Enfin, arrivé à la salle 19 "La peinture en Italie du Nord au XVIIIe siècle", vous découvrez La Montée au calvaire de Giuseppe Bazzani. C'est le chemin que vous êtes entrain d'emprunter et personne ne vous aidera. Très peu se manifesteront pour vous aider... Vous êtes presque seul(e).
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  Puis à côté, l'Allégorie de la Justice de Gaetano Gandolfi. Elle vous inspire beaucoup de choses, mais y a t-il vraiment une justice dans ce jeu ? Non c'est juste un jeu de sauvages.
  Bonne mort à vous.
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Objets Disponibles :
Divers :


Note : Si vous prenez l'un de ces objets, vous devez mettre son image dans votre post.

Code:

 Compas :
[img]http://img809.imageshack.us/img809/2739/compas.png[/img]
Pot de crayons : [img]http://img829.imageshack.us/img829/4337/potdecrayons.png[/img]
Feuilles : [img]http://img155.imageshack.us/img155/8633/papier.png[/img]

Il ouvrit les yeux...
Pour les refermer aussitôt.
*Encore ce rêve idiot avec les murs qui nous tombent dessus et le gaz ... Vraiment c'était n'importe quoi comme rêve ça : j'ai accepté d'aller à une exposition dans une aile  fermée du Louvre. Il faut vraiment que j'ai bu, et pas qu'un peu, pour accepter ça*
Pensant que son rêve était terminé, il ouvrit les yeux. Et ben non. En se demandant comment il avait fait pour se mettre dans un pétrin pareil, il se leva pour se rendre compte qu'il était dans une salle pas trop éclairée. Qui avait un peu la forme d'un cachot. Et si c'en était un ? Il se retourna pour voir que c'était ouvert. Il soupira (intérieurement, bien sur), et décida d'explorer complètement la salle avant de continuer. Il fit le tour, mais ne remarqua rien de notable. Il partit donc à l'assaut du monde extérieur. *Aïe !*  Il avait marché sur quelque chose de pointu. Se penchant pour apercevoir que c'était un compas, un déclic se fit dans sa tête : il avait encore son couteau suisse et son cellulaire. S'il avait pu, il aurait éclaté de rire. Seulement, il n'en avait plus l'envie depuis bien des années maintenant. Il en était sur, ses deux objets de survie étaient toujours dans la poche arrière de son jeans : il les sentait. Il empoigna son cellulaire... pour s'apercevoir qu'il avait rêvé. Sa main empoigna le vide. Son esprit lui avait fait défaut. Frustré, il ramassa le compas *Mieux que rien ! Au moins je ne serai pas complètement désarmé en cas d'attaque.*

Au cas ou il y ait autre chose, il regarda sur le sol et vit un pot de crayon et du papier taché de sang. *Pff... Utilité = 0* Sans même daigner y toucher, il sortit de ce cachot sordide pour se rendre dans le couloir. Droite ou gauche ? Il choisit la gauche. Il avait toujours préféré la gauche à la droite. Peut-être par dédain de la normalité, ou parce que la gauche était, selon d'anciennes légendes, le côté du diable. Il arriva dans un endroit à peu près sembable au lieu d'où il sortait, à deux détails près. Premièrement, des tableaux ornaient les murs. Mais il se foutait totalement de ça. Il n'aimait pas l'art, de toute façon. Mais il y avait ce qu'il cherchait : des portes. Il se dirigea vers l'une d'elle avec un espoir de s'en sortir, et buta sur un corps endormi.

... et buta sur un corps endormi.
*C'est quoi ça ?*
Il se releva et se retourna pour voir sur qui diable il avait bien pu tomber. La personne avait la tête tournée vers le sol et il décida de la laisser là.
*Bah, tant pis pour lui. S'il est mort, je m'en fout. Je veux juste sortir de ça. La loi du plus fort l'emportera, je le sens. Cette connerie à l'air d'être une métaphore de la vie, en somme.*
Mais il se retrouvait maintenant face à deux portes. Le problème, c'est qu'il ne pouvait plus aller vers la gauche. Droite ou en avant ? Il haïssait la droite. Il n'aimait pas les partis politiques de droite, il n'aimais pas les droitiers (oui, il était lui-même droitier. Mais en fait il n'aimait personne) et quand il se faisait mal, c'était toujours au pied, ou à la main droite. Et puis, dans la vie, il faut aller droit devant. C'est donc après ces longues réflexions philosophiques qu'il décida de prendre la porte qui se situait devant lui. Il avança d'un pied ferme et...
*TAB*RN*CK ! C'est barré.*
Il vérifia s'il n'était pas du bon côté pour déclencher le mécanisme... qui ne nécessitait pas de clé ? Et c'était quoi ça ? On aurait dit une sorte de truc pour identifier les produits dans une épicerie. Un code barre... Il y en avait peut-être un sur les feuilles ! Il allait pour s'élancer au pas de course mais il s'arrêta net. C'était trop simple. S'il s'emparait des feuilles, il aurait le contrôle absolu sur toutes les portes ? Non, c'était impossible. C'était forcément plus complexe. Il se passa la main dans les cheveux, manie qu'il avait développé récemment, et... Tiens, l'intérieur de sa main était sale. Il tenta d'enlever la saleté avec l'autre main.
*!!!!!!!! Il est là le code barre ! Donc chacun en a un. Ça me parait plus sensé. Bien. Ouvrons cette porte maintenant.*
Il passa sa main sur le mécanisme et entendit un déclic ! Il poussa la poignée et mis un pas dans cette nouvelle salle...
Passage à la pièce 6

JS revint dans la salle deux pour un but précis. D'abord, il comptait savoir ce qu'il aurait trouvé s'il avait tourné à droite en sortant de son cachot. Ensuite, il comptait récupérer le pot de crayon et les feuilles, pour écrire un journal. Il voulait se remettre les idées en ordre, faire un résumé des faits. Il passa rapidement la porte qui se situait maintenant à sa gauche (d'ailleurs, pour ce fait, il hésitait à y aller) et tourna à droite. Il passa la salle ou il s'était réveillé, et tourna à droite dans la deuxième. Il en fit le tour. Pas de porte. Mais de belles toiles sordides. Il passa. Rien de plus intéressant dans la troisième. Elle était plus petite, avec d'autres toiles, mais pas de portes. C'est sur ces faits qu'il retourna chercher les crayons et la feuille et commença son journal.

Début du Journal de Jean-Sébastien Wolfe

Son journal écrit, dans sa mini-salle, JS réfléchissait. Son journal lui avait été inutile, il s'en était rendu compte en l'écrivant. Mais il devait faire quelque chose maintenant. Mais... quoi ? Peut-être aller dans la salle à laquelle mène l'autre porte. Explorer, c'était probablement la meilleure chose qu'il lui restait à faire. Trouver une sortie et survivre. En fait, pour survivre il lui fallait trouver une sortie, alors ça venait ensemble.
*Survivre. Je dois survivre. Il faut que je m'en sorte*
C'est avec ces pensées en tête que JS se dirigea vers l'autre porte. Le corps n'était plus là. Mais bon, dans tous ces mystères, ce n'était pas si important. Il poussa donc la porte menant à la salle 3, porte qui ne possédait pas de code barre. JS était prêt à tous. Même aux choses les plus insoupçonnées...

JS revenait de la pièce d'à côté avec des questions plein la tête. Et une pagaie dans les mains. Il ne savait pas pourquoi il l'avait prise. Bien sûr, c'était plus efficace qu'un compas en cas d'attaque, mais il n'allait pas se promener avec une pagaie. Trop encombrant. En fait, il l'avait surtout pris pour que personne d'autre ne la prenne. Il n'aurait pas aimé se faire attaquer à la pagaie alors qu'il n'a qu'un compas. Et il sentait que sa mini-pièce lui appartenait. Il détenait son accès direct et il n'avait pas l'impression que quelqu'un avait ouvert l'autre porte. Donc, pour le moment, il était le seul à y avoir accès. Et il se fichait de rester seul, tant qu'il survivait. Survivre. Drôle de mot. Sa décomposition est le contraire de son sens. Sur-vivre. Sous-vivre aurait été plus approprié. Mais bref. Il lui fallait survivre. C'était impératif. Mais en même temps, il lui fallait explorer. Mais ça attendrait. Pour le moment, la seule chose dont il était certain, c'était que si quelqu'un ouvrait la porte dans les 5 prochaines secondes, cette personne recevrait un violent coup de pagaie.

[ je supprime des que possible ]

Il était temps de faire quelque chose. JS le savait. Il le sentait. Ça faisait maintenant presque deux jours qu'il déambulait sans but dans sa salle, seul. La pagaie était bien rangée, son compas dans sa poche, son journal ne progressait plus. C'est donc vivement qu'il décida de pousser à nouveau la porte qui l'avait autrefois mené à une salle dont un autre gars sortait. Cette fois, il ne comptait pas revenir de sitôt où il était présentement. Il remit un pied dans l'autre salle, mais décida de laisser la porte ouverte. Un geste de compassion innatendu

[Passage à la pièce 6]