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 [08] Pièce 7 - La Peinture Italienne au XVIIe siècle

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Nivalis
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NivalisDate d'Arrivée : 30/11/2009

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MessageSujet: [08] Pièce 7 - La Peinture Italienne au XVIIe siècle   [08] Pièce 7 - La Peinture Italienne au XVIIe siècle I_icon_minitimeVen 24 Juin - 21:15


  • La Pièce 7 est dédiée à la peinture italienne du XVIIème. Différents styles, différentes villes...
    Voir le Plan de l'Aile Denon pour voir les verrouillages
    Accès vers la pièce 6 : déverrouillé
    Accès vers la pièce 4 : déverrouillé


    La Nature morte de la salle 18 ne vous inspire guère, en particulier la Marchande de volailles et de poissons de Felice Boselli. Vous vous rapprochez... vous avez presque l'impression que du sang va sortir de la peinture... Vous vous éloignez et vous apercevez... que du sang sort de l'arrière du tableau.
    Voir la Peinture

    La Salle 17 Sassoferrato - La peinture à Rome. Vous voyez Apollon écorchant Marsvas de Filippo Lauri. Cette scène vous rassure quelque peu... mais Marsvas n'attend que que vous vous retourniez pour embrocher Apollon. Êtes-vous sûr que ce sont toujours les gentils qui gagnent ?
    Voir la peinture

    La peinture à Gênes et à Naples au XVIIe siècle de la Salle 16 vous inspire encore moins, en particulier lorsque vous voyez Le Déluge qui va arriver, de Alessandro Turchi. Vous ne pensez alors qu'à une seule chose : comment la pièce sera lorsqu'elle sera, elle aussi, remplie de corps...
    Voir la Peinture

    « Demande-moi ce que tu voudras… Ce que tu me demanderas, je te le donnerai, fût-ce la moitié de mon royaume. » Non, Salomé ne désirait pas son royaume, mais la tête de saint Jean-Baptiste. Oui, Salomé recevant la tête de Saint Jean-Baptiste de Giuseppe Caletti est une telle oeuvre. Oh Salomé... Tu es si belle mais la beauté ne reflète en rien ton coeur. Qu'en est-il pour ceux qui t'entourent... mon cher ami lapinou ?
    Voir la Peinture


Dernière édition par Nivalis le Mer 29 Juin - 0:37, édité 2 fois
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MessageSujet: Re: [08] Pièce 7 - La Peinture Italienne au XVIIe siècle   [08] Pièce 7 - La Peinture Italienne au XVIIe siècle I_icon_minitimeDim 26 Juin - 15:36

Le brouillard...La confusion...
Aucun souvenir de la veille, une amnésie ciblée sur ce moment précis. Le froid du sol sur lequel j'étais allongé engourdissait chacune des cellules de mon être. Je décidai d'ouvrir doucement mes yeux, appréciant la lumière blafarde dont l'astre lunaire inondait la pièce où je me trouvais...Je ne savais pas où je me trouvais, ce qui m’inquiéta fortement pendant un couple de minutes, puis aussi vite qu'elle fut venue la peur s'évanouit. La situation me paraissait assez amusante et surtout intéressante.
Sans une certaine énergie, j'essayais de faire bouger les muscles de mon corps pour me retrouver en position assise. Chose plus ardue qu'elle ne pouvait paraître départ car ma tête était endolorie et j'avais l'impression que le monde tout autour de moi tanguait comme si j'étais sur un bateau. Je choisirais volontiers le Titanic, pour tout ce luxe et sa fin des plus...Tragique... Finalement assis, je regardai autour de moi, observant la pièce où je me situais.
Le Louvre... Des bribes de mémoires me revinrent...J'avais gagné un voyage pour visiter Paris et j'avais décidé de commencer par ce musée, étant féru de l'art sous toute ses coutures. Puis plus rien, le néant...
Quelque chose clochait, j'avais toujours mon portable sur moi, toujours dans la poche gauche de mon jeans...Et il n'y était plus, je mis quand même ma main dans cette dite poche et la peau de mes doigts entra en contact avec une chose humide. J'en sorti un bout de tissus blanc imbibé de... De sang à coup sur! Si on ignorait les taches rougeâtres, on pouvait distinguer finement brodé dans sur ce qui se révélait être un petit mouchoir de poche la phrase " The liar must die"... Cette phrase était une phrase culte du jeu auquel j'étais accro, The Rabbit Doubt. Était-ce lié ? Si oui, eh bien ma vie risquait de se voir considérablement raccourcie...Enfin tout ceci n'était qu'une supposition, une simple hypothèse fondée sur cette seule phrase.
Je me relevai, ayant encore légèrement la tête qui tourne mais ce à une notion tout à fait supportable. La lueur de la lune baignant la salle d'une atmosphère assez douce en fait, chose qui ne devrait pas être pareil dans les autres pièces. Ce qui eut pour conséquence le fait que je décidai de demeurer ici même si une petite inspection des lieux s'imposait. Un écriteau m'indiqua que la salle où avait eu lieu mon réveil était la n°18. Bien, au moins une information. Un tableau était accroché au mur, chose banale vu que j'étais dans un musée. Je m'approchai pour pouvoir distinguer la peinture qui je l'avoue, m'intriguait. Elle représentait une marchande de poissons et de volailles en plein travail. Le sang était parfaitement représenté, il semblait vraiment réel. Chose que j'appréciai fortement. Je m'éloignai un peu, histoire de contempler l'oeuvre avec un peu de recul et j'aperçus, sans être vraiment choqué, du sang ruisseler de sous le tableau. Je décidai qu'il était inutile de décrocher le tableau, je ne voyais aucune raison de m’infliger des tracas supplémentaires quant à la provenance de fluide corporelle.
La salle suivante était la numéro 17, une scène représentant une divinité grecque écorchant une autre personne. J’avais de terribles lacunes dans le domaine de la mythologie. Honte à moi, n’est-ce pas ? Je ne m’attardai pas longtemps dans cette pièce, qui n’était guère intéressante.
Je me dirigeai vers la salle 16 quand j’entendis le bruit d’une porte s’ouvrant. Je n’étais donc pas seul ! J’avançais furtivement malgré ma démarche voutée vers la salle 18, celle où je m’étais réveillé et d’où provenait le bruit. Les fenêtres qui laissaient passer la lumière de la lune m’offrir une vue imprenable sur les deux portes grâces aux reflets qu’elles procuraient. Je remarquai également, une sorte de code barre sur ma joue gauche…Original… Je vis donc une jeune fille à la chevelure brune entrer dans la pièce. Elle avait peur, ça se voyait à sa démarche peu assurée… Mais qui de normalement constitué n’aurait pas peur dans de pareil circonstance ? Je m’avançai donc vers elle, d’une démarche plutôt affirmée les bras en l’air signe que je ne portais pas d’armes. Elle ne sembla pas me remarquer, je l’interpella donc :


« - Hey ! Vous là ! Mademoiselle ! »

Elle se retourna vers moi….


Dernière édition par Damon Vilius le Dim 26 Juin - 22:27, édité 1 fois
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Edya

EdyaDate d'Arrivée : 25/04/2011
MessageSujet: Re: [08] Pièce 7 - La Peinture Italienne au XVIIe siècle   [08] Pièce 7 - La Peinture Italienne au XVIIe siècle I_icon_minitimeDim 26 Juin - 19:35

Edya venait d'entrer dans la pièce. Elle s'attendait pas à la sortie mais à avoir un peu plus de lumière mais se fut raté. Elle regarda la pièce, elle remarqua des tableaux bien sur et de différent petit couloir. Elle voulait s'en approcher quand tout à coup elle attendit une voix d'homme.
C'était un jeune homme qui était en train de s'approcher d'elle. D'abord, elle était sur ses gardes. En effet, elle avait peur que se fut le tueur de la jeune demoiselle ou encore d'autre qu'elle n'était pas au courant, mais elle se trompait. Ses doutes avaient disparus quand elle vit les bras en l'air pour montrer qu'il n'avait pas d'arme.


*Ouf j'ai eu vraiment peur..... au moins je ne suis pas la seule dans cette galère !*


Enfin quelqu'un ! Elle n'était plus seule, cela lui soulagea la conscience. Cela plus répondait au moins à l'une de ses questions mais d'autres restèrent toujours en suspends. Qui peut-t-il faire une chose pareil ? Pourquoi ? Qu'elle est son but ? Tous sa elle voulait savoir et rapidement. En fait, c'était pas pour savoir mais juste sauver sa peau car elle était vraiment sous pression et elle n'arrivait pas à enlever se stress qui l'énervait de plus en plus.
Elle s'approcha doucement du jeune homme et évita de faire de gestes brusques. Elle se sentait soulager certes mais elle était toujours sur ses gardes. Elle resta à une bonne distance de lui et elle déclara :


- Bonjour ou bonsoir... vous comprenez à la situation ?

Elle disait sa en espérant à une réponse et elle ne savait pas par quoi elle pouvait commencer la discussion si particulière. Elle voulait pas commencer par un "salut ! sa va ? " cela était trop commun et elle n'avait pas la force de dire un truc si normal. De toute manière, elle n'avait pas d'autre chose en tête à part de comprendre dans quoi elle s'est fourrée.
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odorechan

odorechanDate d'Arrivée : 05/06/2011
MessageSujet: Re: [08] Pièce 7 - La Peinture Italienne au XVIIe siècle   [08] Pièce 7 - La Peinture Italienne au XVIIe siècle I_icon_minitimeMar 28 Juin - 20:28

Odorechan pénétra dans la salle. A première vue la salle semblait vide. Elle semblait seule.
Tiens d'ailleurs pourquoi seule? Adam devrait être entré de la salle maintenant. Pourquoi n'était-il pas là. Elle qui voulait avancer pour trouver du monde, elle se retrouvait seule.
Elle se retourna vers la porte et colla son oreille contre la porte. Elle entendit Adam!... Mais pourquoi ne la suivait-il pas!
Soudain elle entendit une autre voix, celle d'un homme. Elle commença a s'inquiété pour son camarade. Qui pouvait bien être cet homme.
Elle allait pour retourner vers l'autre salle, pour voir ce qu'il se passait, quand soudain celui-ci pénétra dans la pièce, tremblant et comme sous le choc.


-Mais qu'est-ce qui s'est passé? Avec qui tu parlais?
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Adam White
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Adam WhiteDate d'Arrivée : 13/06/2011

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MessageSujet: Re: [08] Pièce 7 - La Peinture Italienne au XVIIe siècle   [08] Pièce 7 - La Peinture Italienne au XVIIe siècle I_icon_minitimeMar 28 Juin - 22:00

Adam entra dans la pièce à reculons, ne lâchant pas l'homme qui se trouvait dans l'autre du regard. Lorsqu'il le put, il referma délicatement la porte derrière lui.
Arf ! J'espère qu'elle ne se barre pas !
Tout de suite, il tenta de la rouvrir.
Ouf, c'est bon.
Puis il laissa une faible ouverture, simplement pour être certain que la serrure ne s’enclenche pas. Il ne voulait quand même pas contraindre l'autre homme à rester dans cette salle contre son gré tout de même...

- Mais qu'est-ce qui s'est passé ? Avec qui tu parlais ?
La voix d'Odorechan faillit lui faire faire une crise cardiaque, ou un truc du genre - bref, il fit un énorme saut -, mais se calma bien vite lorsqu'il comprit que ce n'était qu'elle. Encore une fois, il vérifia qu'elle ne possédait pas d'arme sur elle, puis se détendit un peu.
- Heu.. Un gars.
Adam passa devant elle et se mit a inspecter la pièce. On y voyait un peu, il y avait encore des fenêtres protégées par des barreaux. Malheureusement trop serrés pour tenter quoi que ce soit.. Sinon on aurait très bien pus les briser pour appeler à l'aide. Le fou qui les avaient emmener ici n'était pas idiot en tout cas...
Cette salle était comportait trois pièces supplémentaires ainsi qu'une porte. Mais cette fois Adam ne se dirigea pas vers celle-ci, il préféra plutôt se diriger vers les petites salles. Plus le temps avançait, plus il ressentait le besoin de se munir d'une arme quelconque, et l'apparition de l'étranger dans la salle 6 n'avait fait qu'augmenter ce désir...
Il tourna donc le coin perçut deux inconnus, ce qui lui fit encore une fois frôler la crise de cœur. Il recula rapidement, regrettant de ne pas avoir de lampe torche pour mieux voir les étrangers.

- Qui êtes vous ?!
Posté entre Odorechan qui se situait près de la porte menant à la salle 4, les deux inconnus lui bloquant le passage vers le reste de la pièce et l'autre homme qui se trouvait dans la salle 6, Adam ne se sentait pas rassuré du tout.
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odorechan

odorechanDate d'Arrivée : 05/06/2011
MessageSujet: Re: [08] Pièce 7 - La Peinture Italienne au XVIIe siècle   [08] Pièce 7 - La Peinture Italienne au XVIIe siècle I_icon_minitimeMar 28 Juin - 22:16

Le jeune homme fit un bond en l'entendant. Il fit volte-face et une fois face à elle se détendit un peu:

- Heu.. Un gars.

ça ne la renseignait pas beaucoup ça. Mais bon elle s'en contenterait. Elle l'observa déambuler dans la pièce, le suivant du regard. Quand soudain, ils fit à nouveau un bond. Et dit:

- Qui êtes vous ?!

Mais qu'est-ce qu'il racontait, odorechan n'avais vu personne pourtant. il faut dire que la pièce était sombre, et divisé en plusieurs renfoncement. Voyant qu'Adam allait à nouveau paniqué, elle décida de ne pas trop s'y attarder, elle se rapprocha de lui, à une bonne distance, elle avait remarqué qu'il n'était pas rassuré avec la proximité, pour voir ce que le jeune homme avait bien pu voir.

Elle remarqua dans l'ombre deux silhouettes qui semblaient être pour l'une féminine, pour l'autre masculine. Ca commençait à devenir pas mal fréquenter dans le coin. mais combien diable, était-il enfermé comme des lapins dans ce foutu musée???
Elle se posta devant eux, attendant que ses yeux s'accomodent du peu de lumière pour pouvoir identifier les deux inconnus. En attendant qu'ils répondent à la question D'Adam.

Odorechan se rassura tant bien que mal en se disant que plus nombreux ils étaient, mieux ils se portaient. Du moins elle l'espérait...
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MessageSujet: Re: [08] Pièce 7 - La Peinture Italienne au XVIIe siècle   [08] Pièce 7 - La Peinture Italienne au XVIIe siècle I_icon_minitimeMer 29 Juin - 16:58

Une fois la porte passée Maxime se trouva dans une nouvelle pièce. Il ne prit pas le temps de l'observer car il ferma aussitôt la porte de la pièce précédente. Il resta face à la porte quelques instants le temps que l'angoisse et la panique qui l'avait prit disparaisse. Lorsqu'il se retourna il remarqua que la pièce était un peu plus éclairée que la précédente mais elle restait assez obscure. Maxime remarqua quelques silhouettes dans l'obscurité, sur le coup il fut assez surpris et hésita pendant un instant à repartir d'où il venait pour tenter de trouver une autre issue de peur que la personne qui avait tué la jeune fille soit ici. Comme il lui semblait qu'il y avait plus d'un silhouette il se dit que l'assassin ne devait pas se trouver ici et il décida d'avancer un peu pour essayer de voir à qui il avait affaire. Il dit en avançant :

"Il ... Il y a quelqu'un ?"

La voix de Maxime était tremblante, l'angoisse ressentit un peu plus tôt n'avait pas complètement disparue et donc elle se faisait entendre dans sa voix. Si on venait à lui demander pourquoi il semblait aussi effrayé il se disait qu'il valait mieux mentir plutôt que d'être prit pour un assassin. Il s'arrêta dans son avancée pour pouvoir tout de même garder une certaine distance au cas où on essayerait de s'en prendre à lui même si il avait un doute sur le fait qu'on l'attaque en présence de d'autres personnes. Puis il essaya de nouveau de se remémorer la soirée qu'il avait passé, celle-ci avait dû réunir plusieurs personnes puisque la jeune fille avait demandé s'ils étaient toujours au Louvre et que d'autres personnes semblaient présentes. C'est alors que Maxime se remémora toute la soirée passée. Il se souvint alors qu'effectivement ils étaient plusieurs alors l'idée qu'ils aient tous été enfermés lui traversa l'esprit. Et il se dit alors que la personne qui avait tué la jeune fille devait être à l'origine de leur enfermement mais restait à savoir si le meurtrier se trouvait parmi eux ou non.
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Adam White
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Adam WhiteDate d'Arrivée : 13/06/2011

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MessageSujet: Re: [08] Pièce 7 - La Peinture Italienne au XVIIe siècle   [08] Pièce 7 - La Peinture Italienne au XVIIe siècle I_icon_minitimeMer 29 Juin - 18:59

Avant même que les deux étrangers aient le temps de répondre à la question d'Adam, la lune fut subitement couverte et on entendit du mouvement dans la pièce d'à coté.. Suivit d'un cri. Adam n'osait plus bouger, il était pétrifié.
La mort venait les cueillir. Tous. C'est ce qu'il se disait.
Mais non, plus rien ne suivit l’atroce hurlement. Personne n'osait émir un son, ou même respirer trop fort. Nul n'avait la force de franchir la porte pour aller voir ce qui s'était passé; il y avait un cadavre dans l'autre pièce. C'est tout ce que l'enfant savait, les autres aussi d'ailleurs, et qu'il se répétait en boucle, comme une chanson morbide, espèrent que la victime n'avait pas trop souffert. Qu'avaient-ils tous fait pour mériter ça ? Qu'avait donc fait Adam pour se retrouver ici ? Pourquoi était-il prisonnier d'un musée aux toiles effrayante, lui qui n'avait même pas son iPod pour attendre patiemment la mort ? Pourquoi personne ne venait donc les délivrer, eux qui vivaient un cauchemar atroce ? Un cauchemar dont on ne se réveille pas...
Puis, on entendit des pas venant de la salle du crime. L'assassin. C'était lui. C'était certain.
La porte s'ouvrit lentement, et Adam senti l'air qu'elle déplaçait se rendre jusqu'à lui. Il frémit. L'individu qui venait de passer la porte la referma aussitôt, dans un mouvement lent qui ne faisait qu'alourdir l'atmosphère.
- Il ... Il y a quelqu'un ?
Oui il y avait quelqu'un. En fait, ils étaient quatre. Cinq maintenant. Mourrait-ils tous aujourd'hui ? Maintenant ?
Non. Bien-sûr que non. Cet homme était trop sadique, il prendrait bien soin de les rendre fou avant de sauvagement les assassiner. Un maniaque. Oui. Un être tordu, machiavélique. Pire qu'on ne peut l'imaginer...
Adam retenait son souffle, comme si l'homme ne pourrait le remarquer si sa respiration devenait moins présente. Il n'osait pas répondre et se sentait défaillir.
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odorechan

odorechanDate d'Arrivée : 05/06/2011
MessageSujet: Re: [08] Pièce 7 - La Peinture Italienne au XVIIe siècle   [08] Pièce 7 - La Peinture Italienne au XVIIe siècle I_icon_minitimeJeu 30 Juin - 11:25

Alors qu'elle attendait que les deux silhouettes répondent a Adam, soudain la pièce devint encore plus sombre, Ils entendirent des pas dans la pièce d'à côté. machinalement Odorechan se retourna vers la porte menant à cette salle. Lorsqu'elle fut face à celle-ci, un cri terrifiant se fit entendre, une femme criait... d'horreur. Elle mit ses mains sur sa bouche, retenant le cri qui allait en sortir, tout en reculant d'un pas.
Non ne pas se faire entendre, ne pas bouger. Il ne fallait pas que qui que se soit derrière cette porte les entendent. Elle remarqua qu'Adam et les autres étaient figés aussi. Puis un silence, un silence plombant tomba.

Et la porte s'ouvrit, une silhouette franchit celle-ci, et referma doucement la porte derrière eux, comme si lui aussi ne voulait pas être entendu. Est-ce que ça serais la personne à l'origine de cette situation? De ce cri?

La voix tremblante, comme sous le choc, l'individu dit:


"Il ... Il y a quelqu'un ?"

Cette voix! ça lui disait quelque chose, elle l'avait entendu la veille, à la soirée. Il semblait apeuré. Si c'était lui le meurtrier il jouait très bien la comédie. Et cela ne l'étonnerait pas venant du psychopathe qui les avais probablement enfermé ici. Elle avait peur, mais comme toutes les personnes avec elle était silencieuse, surement aussi terrifiés qu'elle, elle dit:

-Qui es-tu?

Son ton était froid, neutre, et aussi impassible que possible.
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Alice

AliceDate d'Arrivée : 29/04/2011
MessageSujet: Re: [08] Pièce 7 - La Peinture Italienne au XVIIe siècle   [08] Pièce 7 - La Peinture Italienne au XVIIe siècle I_icon_minitimeJeu 30 Juin - 23:37

  • Lentement, Alice apparu derrière Adam White.
    La jeune femme, plutôt petite, de magnifiques cheveux blonds très longs, posa légèrement ses pieds au sol. Elle s'approcha de lui, en posant ses deux mains sur ses épaules et souffla à son oreille. Elle n'était visible à personne d'autre que lui.
    Son seul moyen de communication est la pensée, c'est pourquoi, personne ne les entendront parler.


    Merci mon cher Adam. Tu m'as délivrée de mon tableau !
    Je m'appelle Alice, et j'ai été enfermée dans le Nihiland. Afin d'en sortir, je dois récolter des sentiments humains mais aussi des âmes humaines,
    dit-elle d'un air fatigué. Voilà déjà bien longtemps qu'elle passe ses journées à guetter les gens prêts de la mort.
    Ça en devient lassant.

    Elle se recula et fit quelques pas léger afin de montrer à Adam que personne ne pouvait la voir, à part lui. Elle se mit ensuite à courir autour des autres, leur faisant d'affreuses grimaces. Son rire semblait se propager partout dans le Louvre, mais ce n'était que dans la tête du jeune homme. Elle revint vers lui et colla presque son visage contre celui d'Adam.

    Je te propose donc d'accomplir une quête afin d'obtenir une chose inestimable : le changement de pensée. Il te permettra de ne pas te faire tuer, si les autres désirent avoir ta tête.

    Elle lui indiqua alors ce qu'il devait faire pour réussir à avoir son immunité, en répétant qu'il fallait absolument que tout soit parfaitement fait.

    Lorsque tu auras accompli ta quête, répète trois fois dans ta tête : "C'est l'heure du thé" et je viendrais à toi.

    Elle s'inclina, lui fit un grand sourire et disparu lentement, se fondant dans le décor du Louvre.
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MessageSujet: Re: [08] Pièce 7 - La Peinture Italienne au XVIIe siècle   [08] Pièce 7 - La Peinture Italienne au XVIIe siècle I_icon_minitimeSam 2 Juil - 12:33

Après la question de Maxime il y eut un silence, il n'observa aucun mouvement des silhouettes ce qui lui tira un léger soupir de déception. Puisqu'il était dans un musée il se dit qu'il s'agissait sûrement de statues alors il s'apprêta à chercher une sortie. Puis une voix lui demanda qui il était, le ton utilisé était froid. Lorsqu'il répondit, Maxime avait réussit à donner un ton plus calme à sa voix :

"Je ... Je m'appelle Maxime, Je ..."

Il coupa net sa phrase. Le ton de la personne qui lui avait répondu ayant été froid, Maxime se demandait si le cri n'avait pas été entendu dans cette pièce aussi et dans ce cas ceux se trouvant dans la pièce pourraient penser qu'il était celui qui lui avait fait du mal. Il prit quelques instants pour réfléchir à la façon dont il pourrait tourner les choses tout en ne paraissant pas trop suspect. Une fois qu'il trouva la façon dont tourné les choses il dit :

"Je viens de me réveiller, je ne pouvais rien voir dans la pièce puis ... il y a eut un cri et je ... me suis enfuit prit par la peur."

Maxime faisait en sorte de cacher le fait qu'il avait vu la jeune fille avant que celle-ci se fasse tuer, ainsi il espérait enlever les doutes qui pouvaient planer dans l'esprit des personnes dans cette pièce si ils avaient bien entendu le cri. Repenser à ce qui venait de se passer donna des frissons à Maxime et il sentit l'angoisse remonter un peu alors il préféra passer à la suite et il demanda :

"Et vous ... qui êtes-vous ?"

Il avait utilisé le vouvoiement car il s'adressait à toutes les personnes mais il l'aurait sûrement utilisé si la personne avait été toute seule. Il ne restait plus qu'à espérer pouvoir se lier un peu avec les personnes présentes dans la pièce et que le tueur ne se trouvait pas parmi eux. Par la même occasion il espérait qu'ils ne le soupçonnent pas trop sinon Maxime serait obligé de bouger encore une fois sans savoir si quelqu'un l'y attend ou non.
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Adam White
♂ Mister Virilité
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Adam WhiteDate d'Arrivée : 13/06/2011

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MessageSujet: Re: [08] Pièce 7 - La Peinture Italienne au XVIIe siècle   [08] Pièce 7 - La Peinture Italienne au XVIIe siècle I_icon_minitimeSam 2 Juil - 17:47

- Qui es-tu ?
Odorechan avait visiblement endossé le rôle du meneur, froide. C'était un aspect de sa personnalité qu'Adam ne connaissait pas encore. Mais en même temps, connaissaient-ils vraiment les gens ici ? L'adolescent n'avait pas réellement ce tempérament en temps normal; d'habitude, il était plutôt effacé, silencieux, calme sans être serein. Enfin, là, maintenant, il était loin de ce à quoi il ressemblait habituellement.

Adam senti soudain une main froide sur son épaule. Ses yeux s'agrandirent, et il ne pouvait toujours pas bouger, immobilisé par la peur. Il retenait sa respiration, n'osant pas appeler à l'aide, puis, la personne se présenta devant lui. C'était une femme - ou plutôt une fillette - aux longs cheveux dorés, elle se posta tout près de lui, et sans bouger les lèvres commença à lui parler. Lui proposant une quête qui pourrait lui éviter la mort. Quoi ? C'était.. elle ? Le meurtrier ?..
L'adolescent ne comprenait définitivement plus rien, entre elle et l’individu venant d'arriver, qui était donc le "maniaque" ?.. Et pourquoi Odorechan ne disait-elle rien ? Ils observaient tous l'autre homme sans broncher...
Néanmoins, le garçon retint la formule de la jeune femme "c'est l'heure du thé". Peut-être lui permettrait-elle d'échapper à ce cauchemar ?
Mais le plus étrange était qu'elle disparu à travers le mur près d'Adam. Était-il devenu fou ?!

Tout ça l'avait fait oublié l'étranger, et lorsqu'il reprit connaissance de la situation, l'homme avait déjà presque fini de parler.

- ...prit par la peur... Et vous... qui êtes-vous ?
Hors de question qu'Adam lui réponde. Il venait de sortir de la salle où se trouvait TRÈS probablement un cadavre bon sang ! Croyait-ils vraiment que les gens se trouvant dans cette pièce allaient lui donner leurs noms en souriant en se mettant à danser et à chanter ? Ils n'étaient pas dans une comédie musicale !
- Il est hors de question que je parle à cet homme, dit-il en reculant, froid.
Il en profita également pour tâter le mur où la dénommée Alice avait disparu quelques secondes auparavant. Histoire de s'assurer que rien n'était truqué... Et tout était en ordre, pas de faux mur ou quoi que ce soit. Il venait bel et bien de voir un esprit.
Il devait absolument réussir sa mission.


Dernière édition par Adam White le Dim 3 Juil - 1:09, édité 2 fois
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Edya

EdyaDate d'Arrivée : 25/04/2011
MessageSujet: Re: [08] Pièce 7 - La Peinture Italienne au XVIIe siècle   [08] Pièce 7 - La Peinture Italienne au XVIIe siècle I_icon_minitimeSam 2 Juil - 22:09

Plein d'événements se sont produit. En effet d'abord une jeune femme arriva et elle attendit quelqu'un. Quelques instant plus tard, un jeune homme arriva. Il commençait à avoir trop de monde dans cette pièce. L'ambiance était lourde, la mefiance entre chacun était de plus en plus fréquente.
Il y avait donc d'autres personnes qui était dans la même situation et cela lui faisait peur. Mais pourquoi il y avait tout ce monde ? Qui a eu cette idée aussi morbide ? Des questions dont elle n'aura surêment aucune réponse.

* Mais bordel c'est quoi cette galère*

La même question était posée. Qui êtes-vous ? La question essentielle mais aussi importante. Avant même d'avoir eu le temps de répondre, un nouveau homme entra venant d'une autre pièce. Auparavant il eu un cri dans la pièce à côté. Qui était-ce ? Mais pourquoi ce cri ?
Mais c'était pas la seule à avoir eu peur tout le monde l'a eu puis déclara :


- Bonsoir je m'appelle Edya...... mais c'était quoi ce cri ? Me dite pas qu'il ou elle est.....

Elle eu très peur. Elle ne voulait pas être la prochaine a passer et elle ne voulait pas savoir exactement pourquoi elle/il criait

[Dsl pour le petit post mais avec le portable c'est dur]
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odorechan

odorechanDate d'Arrivée : 05/06/2011
MessageSujet: Re: [08] Pièce 7 - La Peinture Italienne au XVIIe siècle   [08] Pièce 7 - La Peinture Italienne au XVIIe siècle I_icon_minitimeLun 4 Juil - 15:26

La réaction d'Adam surpris Odorechan sur le moment. Puis après réfléxion, elle le comprenait. avait-elle vraiment envie de prendre le risque d'être dans la même pièce que cet homme. Après tout il était dans cette salle où cette femme avait crier.
Peut-être mentait-il? Fuyait-il vraiment le cri? ou en était-il à l'origine. Tout se bousculais dans sa tête.

Puis une personne se trouvant dans cette pièce avant Adam et elle intervint dans la discussion:


- Bonsoir je m'appelle Edya...... mais c'était quoi ce cri ? Me dite pas qu'il ou elle est.....

Avant que la panique ne l'immobilise et nouveau et la reprenne comme peu de temps avant. Elle se referma sur elle même. Froide, distante, et impassible.

Autant elle s'était toujours posé des questions sur Adam, autant que lui a son égard à son avis, mais les autres... c 'était encore pire. Et en l'espace d'un instant ils étaient passé de 2 à 5... c'était venu trop vite d'un coup. Elle eut le sentiment qu'il ne fallait pas qu'elle traine dans le coin. Elle regarda autour d'elle, s'arrêtant sur chacun, s'attardant sur l'homme qui venait de rentrer puis sur Adam... Il avait l'air aussi mal en point qu'elle d'ailleurs.

Mais bon sang elle n'avais aucune idée de ce qu'elle devait faire!

Autant rester le plus froid et inébranlable possible. Elle pris son courage à deux mains, et dit en reculant, histoire de mettre une distance de sécurité entre elle et cet homme, un certain: Maxime Graf.Et dit, tout en répondant à Edya:


-Morte tu veux dire... Honnêtement, j'espère qu'il aurait l'intelligence de l'emmener avec lui au lieu de laisser cette personne seule à côté si elle n'était qu'effrayer ou blesser... Alors j'ai envie de dire qu'elle doit sûrement l'être.

Sa voix était posée, sèche et froide... c'était décidé, elle ne se laisserai pas surprendre ou impressionner... sinon elle allait perdre son sang froid.

- Je n'ai pas plus envie que ça de te connaître Maxime, encore moins te faire confiance. Alors en admettant qu'il soit probable que tu ne soit pas celui qui a fait ça... Je laisse le bénéfice du doute. je m'appelle Odorechan.

Elle se retourna, cette pièce comportait plusieurs petits couloirs, elle ne voulais pas être seule, de peur de se faire surprendre... mais elle voulais s'écarter de tout ces gens, pour réfléchir. Elle décida de s'éloigner un peu de l'endroit où ils étaient pas beaucoup, juste assez près pour les avoir en vue, et juste assez loin pour se sentir un peu à l'écart.
Elle avança de quelque pas, tourna la tête vers Maxime, le regard assez froid pour lui enlever toute envie de s'approcher et dit d'une voix neutre et posé:


- Evite juste de trop d'approcher de moi.

Elle avança, jusque derrière Adam, s'essaya par terre contre le mur. Et perdu dans se pensées le regard dans le vide, se mis à fredonner une chanson qui lui permettait de rentrer dans sa bulle, de penser et d'avoir l'impression d'être en sécurité. Une chanson de Yiruma: River Flows In You:

River Flows In You
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Adam White
♂ Mister Virilité
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Adam WhiteDate d'Arrivée : 13/06/2011

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MessageSujet: Re: [08] Pièce 7 - La Peinture Italienne au XVIIe siècle   [08] Pièce 7 - La Peinture Italienne au XVIIe siècle I_icon_minitimeMar 5 Juil - 2:48

La femme qu'il avait interrogé plus tôt avant même l'arrivée du meurtrier - enfin, celui qui l'était sans doute - prit finalement la parôle. Ce n'était pas trop tôt ! Le fait qu'elle ne se soit pas décider à prendre la parôle avant pouvait-il suggèrer qu'elle soit aussi du complot ?
Non. Ça n'allait pas. Adam se mettait à suspecter tout le monde, après tout, il n'était très probablement pas le seul piègé dans cette situation. Pourquoi lui en voudrait-on a lui, et à lui seul ?
Non. Il y avait forcément des gens bien ici. Mais pouvait-il faire confiance à certaine personne, même en pensant dans ce sens ? Non. Cette idée ne parvenait pas à s'incruster dans sa tête, et c'était peut-être mieux comme ça.

- Bonsoir je m'appelle Edya... Mais c'était quoi ce cri ? Me dite pas qu'il ou elle est...
La demoiselle semblait extrèmement apeurée, mais au fond que ressentait-elle ? N'était-elle pas une simple actrice aux pensées sanguinaire ?
- Morte tu veux dire... Honnêtement, j'espère qu'il aurait l'intelligence de l'emmener avec lui au lieu de laisser cette personne seule à côté si elle n'était qu'effrayée ou blessée... Alors j'ai envie de dire qu'elle doit sûrement l'être.
Et Odorechan ? Elle avait revêtu un masque froid et sans émotion depuis un moment. Pourquoi ? Pourquoi changeait-elle soudainement de personnalité ? Elle n'était plus la même personne que lorsqu'elle s'était réveillée... Cachait-elle quelque chose ?
Plus les gens qui l'entouraient prenaient la parôle, plus Adam trouvait de raisons de les soupçonner. S'il continuait ainsi, il deviendrait fou, c'était inéluctable. Après tout, peut-être était-ce ce qu'Odorechan s'était dit en revêtant son masque, il aurait sans doute avantage à faire comme elle.. Non ?

- Je n'ai pas plus envie que ça de te connaître Maxime, encore moins te faire confiance. Alors en admettant qu'il soit probable que tu ne soit pas celui qui a fait ça... Je laisse le bénéfice du doute. Je m'appelle Odorechan.
Encore une fois celle-ci s'était rangé du côté d'Adam. Le garçon avait de plus en plus envie de lui faire confiance.. Mais pouvait-il vraiment ? Il ferait mieux de rester impassible pour le moment.
La jeune femme vint s'assoir près de lui, encore, adressant quelques mots au prétendu tueur, histoire de l'intimider un peu.
Installée sur le sol, adossée au mur où avait disparu Alice quelques instant plus tôt, Odorechan se mit à fredonner un air... Un air qui calma Adam. Elle chantait River Flows In You, de Yiruma, un pianiste que l'adolescent avait déjà entendu quelques fois.
Sur le coup, Adam n'eut plus envie de douter, il voulait s'assoir lui aussi, fermer les yeux et relaxer, décontracter ses muscles qui étaient atrocement tendus depuis son réveil, il voulait rêver encore un peu avant de retourner dans la réalité un peu trop barbare à son goût. Il se laissa tranquillement glisser sur le mur, près d'Odorechan, écoutant le son de sa voix qui se répandant dans la pièce silencieuse.
Cette manoeuvre fonctionna un moment. Enfin, pendant peut-être 45 secondes, Adam ne pensa plus à rien, mais rapidement ce qui se passait ici lui revint à l'esprit. Il fallait disparaître, partir d'ici, s'enfuir, puis oublier, retrouver une vie paisible, ne plus jamais accepter des billets d'avion tirés sur internet...
Trouver une porte où s'enfuir ?...
BINGO !
Adam se releva brusquement. S'il suivait sa théorie ainsi que la logique, la porte d'où sortait l'homme propice à être le meurtrier devait être près de la sortie ! Le jeune garçon marcha rapidement devant tous les étrangers louches et passa la porte. Il ne voulait plus être dans une pièce aussi remplie, il sufoquait. Mais quelque chose d'autre l'attendait inévitablement de l'autre côté...


[Passage à la pièce 4]
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MessageSujet: Re: [08] Pièce 7 - La Peinture Italienne au XVIIe siècle   [08] Pièce 7 - La Peinture Italienne au XVIIe siècle I_icon_minitimeMar 5 Juil - 15:26

Une jeune femme lui avait répondu, celle-ci portait le nom d'Edya. Celle-ci n'avait pas fini sa phrase mais elle avait comprit ce qu'il s'était passé. Puis la personne qui lui avait demandé son nom était resté sur un ton froid et lui disait qu'elle ne lui ferait pas confiance et Maxime connaissait la raison après avoir vu la réaction d'Edya. Puis une des personnes dans l'ombre se dirigea vers Maxime puis il entra dans la pièce d'où venait Maxime. Maxime resta sans réaction pendant plusieurs secondes, il ne savait pas quoi faire entre partir seul, resté ici puis à présent que quelqu'un était allé dans la salle où la fille avait été tué il ne savait pas s'il devait suivre le garçon, car la personne était passée assez proche pour que Maxime puisse se rendre compte qu'il s'agissait d'un garçon, au cas où l'assassin agirait de nouveau ou s'il devait resté ici. Une douleur au crâne revint, il s'assit le dos appuyé contre la porte que le jeune homme venait de franchir. Maxime chercha une solution quant aux évènements qui venaient d'arriver, il cherchait par la même occasion ce qui paraissait être la meilleure chose à faire à présent. Maxime se releva, plaça sa main sur la poignée pour se préparer à suivre le garçon mais il se demanda si c'était vraiment une bonne idée. Le garçon ne voulait pas avoir à faire à Maxime et il l'avait comprit mais le laisser seul alors qu'un tueur se trouvait peut-être dans la pièce d'où il venait lui donnait envie d'y retourner pour aider le jeune homme en cas de problème. Maxime enleva finalement sa main de la poignée, il se retourna vers les silhouettes et tout ce qu'il fit c'est leur parler :

"Il vaut mieux ne pas le laisser seul dans cette pièce, il pourrait ... être attaqué ..."

Maxime finit sa phrase sur une voix assez faible, il ne voulait pas qu'il arrive quelque chose au jeune homme mais celui-ci n'aurait sûrement pas voulu de son aide. A présent il ne restait plus à Maxime qu'à décidé s'il restait dans cette pièce où si il devait changer. Il se plaça sur le côté de la porte, s'attendant à ce que quelqu'un rejoigne le jeune homme.
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odorechan

odorechanDate d'Arrivée : 05/06/2011
MessageSujet: Re: [08] Pièce 7 - La Peinture Italienne au XVIIe siècle   [08] Pièce 7 - La Peinture Italienne au XVIIe siècle I_icon_minitimeMar 5 Juil - 16:24

Odorechan était encore dans ses pensées. Elle sentit Adam s'asseoir près d'elle, mais n'y prêta pas beaucoup d'attention. Elle réfléchissait. D'après elle il fallait avancer...
Soudain Adam se leva et fila vers une porte qui se trouvait a leur gauche. Elle ne réalisa pas tout de suite.
Elle tourna la tête tranquillement vers celle-ci, et soudain, elle réalisa: cette porte, c'était celle par laquelle maxime était passé. Et derrière cette porte, il y avais la salle dans laquelle avait eut lieu le meurtre de cette fille.
Maxime se tourna vers eux et dit:


-Il vaut mieux ne pas le laisser seul dans cette pièce, il pourrait ... être attaqué ...

Elle se lava d'un bond, et se précipita vers la porte qu'Adam venait de prendre. Maxime se trouvait à côté. Une fois devant la porte, elle s'arrêta net, la main sur la poignée. Elle commençait à lui faire confiance. Mais peut-être était-ce un piège?
Mais qu'est-ce qu'elle devait faire bon sang?
Cette situation la pesait, ces tensions, ces soupons. Elle commençait franchement à en avoir marre. Son regard se voila plein de colère.


-Faut savoir prendre des risques sinon à quoi bon continuer. Rester ici peut-être aussi dangereux! marmonna-t-elle pour elle même.
Elle appuya sur la poignée et rentra dans la salle 4



Passage à la salle 4
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MessageSujet: Re: [08] Pièce 7 - La Peinture Italienne au XVIIe siècle   [08] Pièce 7 - La Peinture Italienne au XVIIe siècle I_icon_minitimeMar 5 Juil - 23:40

Une fois que Maxime eut parlé, la jeune fille qui lui avait demandé qui il était s'était précipité vers la porte par laquelle était passé le jeune garçon. Elle s'était figé une fois la main posée sur la poignée de la porte. Maxime l'observait, se demandant pourquoi elle s'était figée. Il se demandait ce qui avait pu arrêter la jeune fille dans son élan, elle avait paru déterminée à rejoindre le garçon mais ce fut comme si cette détermination avait été coupée. Puis, étant à côté de la porte, il entendit la jeune fille marmonnée. Il supposait qu'elle se parlait à elle même car elle semblait être une jeune fille assez directe d'après ce qu'elle lui avait dit précédemment. Malgré tout il sentit qu'elle avait raison, dans la situation où ils se trouvaient il valait mieux prendre des risques quitte à ce qu'il leur arrive quelque chose et puis le tueur ayant disparu après son meurtre signifiait qu'il pouvait se trouver n'importe où et en particulier dans les endroit proches. Maxime se mit à réfléchir, après le cri de la première victime il s'était passé peu de temps avant qu'il y ait de nouveau un peu de lumière dans l'autre pièce et comme le meurtrier avait disparu assez rapidement il n'avait pu qu'aller dans une pièce à côté de celle du meurtre. Pour le moment il ne connaissait que cette pièce à côté Maxime se dit donc que le meurtrier devait être l'une des quatre personnes il ne fallait donc surtout pas laisser deux personnes seules car le meurtrier étaient peut-être l'un d'eux. Maxime voulut pousser plus loin ses réflexions lorsqu'il entendit un cri venant de la salle 4. Il fut sur le coup pétrifié, le cri avait été certes moins fort que celle qui avait été tuée mais en étant proche de la porte il avait pu l'entendre. Le souvenir de la tête lui revint et il frissonna. Les paroles qu'il avait entendu la jeune fille marmonné lui revinrent en tête et il décida de les suivre quitte à se faire attaqué parce qu'ils le pensent être le meurtrier. Il posa donc sa main sur la poignée de la porte, prit une grande inspiration puis dit aux deux personnes présentes :

"Vu que les choses ne semblent pas tourner en notre faveur je dirais qu'il serait préférable de ne pas se retrouver seul ou avec une seule autre personne dans la même pièce."

Il ouvrit la porte de la salle 4 et partit rejoindre les deux jeunes personnes qui avaient passé cette porte un peu plus tôt.

[Retour à la salle 4]
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Edya

EdyaDate d'Arrivée : 25/04/2011
MessageSujet: Re: [08] Pièce 7 - La Peinture Italienne au XVIIe siècle   [08] Pièce 7 - La Peinture Italienne au XVIIe siècle I_icon_minitimeMer 6 Juil - 10:14

Edya n'aimait la situation présente. En effet, des disputes se mirent en place ainsi qu'une méfiance mutuelle. Mais bon c'était normale mais elle n'aimait pas la réaction d'Odorechan. Elle ne savait pas pourquoi mais elle se disait qu'elle ne devait pas la faire confiance car on dirait elle avait aucune émotion et elle était très froide. Ne ressentait aucune peur ? Cela était très bizarre. Ils avait par idée de changer de salle et aller à celle à côté ou à eu lieu le meurtre....

-Faut savoir prendre des risques sinon à quoi bon continuer. Rester ici peut-être aussi dangereux!

Odorechan avait raison.... c'était pas prudent de rester ici car ils étaient facilement repérable. Mais aller dans la pièce ou le cri venait..... Elle revoyait la fille de la réception morte et elle sentit que cela est pire maintenant. Elle avait des frissons dans le dos. Mais elle ne voulait pas rester toute seule pour éviter de mourir.


- Bon pas le choix.... je viens aussi car rester seule peut être très dangereux

Elle avait assez peur de passer la porte mais c'était sa ou aller à la pièce d'avant mais elle serait retrouvée encore seule ou rester ici mais c'était pas la bonne décision. Elle alla par de petit pas vers la pièce qui pourrait être son malheur.

[passage à la pièce 4]
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MessageSujet: Re: [08] Pièce 7 - La Peinture Italienne au XVIIe siècle   [08] Pièce 7 - La Peinture Italienne au XVIIe siècle I_icon_minitimeMar 19 Juil - 23:08

Nous sommes beaucoup dans ce calvaire...
C'est la seule pensée qui occupe mon esprit depuis quelques instants. J'ai arrêté de compter le nombre de personnes qui venaient d'arriver dans cette pièce, pièce qui au départ ne possédait que moi comme seul occupant. Je n'ai pas fait comme tous ce petit monde qui s'interrogeait l'un l'autre pour tenter d'expliquer notre actuelle situation commune.
Non, je ne voulais pas me mêler à ce méli-mélo de caractères sûrement différents, voire opposés. A assister à des prises de gueules ou autres futilités toutes aussi exaspérentes.
Je m'étais donc reclus dans l'ombre d'un mur, observant néanmoins un peu la scène. Tous étaient effrayés, ils ne le montraient pas de la même façon certes mais ils l'étaient.
Adossé au mur, je m'assis et essaya de penser à la situation. Mais rien, toutes les pistes qui germaient dans mon amas de neurones supposément saines se fanaient sans raison apparente. J'étais ma foie, fatigué. J'étais mentalement à bout, physiquement aussi. Effets secondaires de la drogue que l'on m'a administrée ? Possible...
Je n'avais strictement rien à faire des autres clampins qui se trouvaient ici, rien mais vraiment rien. Je ne m'en souciais aucunement, même s'il était probable que l'un d'eux soient le meurtrier. Nous étions beaucoup, pourquoi ça serait moi qui devrait être choisi ? Alors qu'on ne m'avait surement pas remarqué.
Je m'allongeai, toujours dans l'ombre du mur. Peut-être l'utilisais-je comme un semblant de protection. Cela n'avait aucune importance...Tout ce qui m'importait, à cet instant était de pouvoir me laisser aller dans les bras de Morphée. Moi qui suis un insomniaque invétéré ressentais le besoin iminent de dormir.
C'est ce que je fis,presque instantanément. Comme si c'était la chose la plus naturelle au monde, de s'endormir au Louvres alors qu'un dangereux criminel psycopathe errait dans les couloirs...
Il ne m'apparaissait plus que des voix lointaines, peut-être un cri...Peut-être que m'endormir serait fatal ? Je n'ai pas peur de la mort...Je ne mens pas
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[08] Pièce 7 - La Peinture Italienne au XVIIe siècle

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