[08] Pièce 8 - La Peinture à Rome, Naples et Gênes.

♛ Sadic is so Chic. ♛

La Pièce 8 ou Salle 13 Salvator Rosa - La peinture à Rome, à Naples et à Gênes au XVIIe siècle est une grande pièce avec des bancs un peu partout. Ils ont l'air très confortables d'ailleurs.
Voir le Plan de l'Aile Denon pour voir les verrouillages
Accès vers la pièce 6 : déverrouillé
Accès vers la pièce 9 : verrouillé - déverrouillage possible

La Mélancolie de Domenico Fetti vous plonge dans un long moment de réflexion, sur votre vie, sur votre passé. Pourquoi est-ce que vous êtes là ? Pourquoi cela vous arrive t-il ? ... Ne soyez pas si désespéré. Vous serez bientôt délivré... par la mort.
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La Paix chassant la Guerre : Il n'y a pas de paix sans guerres. La Guerre est le prix à payer pour avoir la paix. Êtes-vous prêt à partir en guerre ? Avez-vous choisi les bons alliés ... ?
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Vous vous avancez, et vous trouvez dans un coin, un post-it avec écrit dessus :
"Je suis là.". Vous trouvez également un pichet de vin... Ah non. C'est du sang.

Objets Disponibles :
Arme :
[08] Pièce 8 - La Peinture à Rome, Naples et Gênes. Vinw

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Divers :

[08] Pièce 8 - La Peinture à Rome, Naples et Gênes. Posq

Note : Lorsque vous prenez un objet, vous devez mettre son image dans votre post.

Code:: Pichet de sang :
[img]http://img843.imageshack.us/img843/9740/vinw.png[/img]
Post-it :
[img]http://img228.imageshack.us/img228/7799/posq.png[/img]

♂ Mister Virilité

- Mmmm...
Aïe, réveil difficile; un atroce mal de tête. Mais qu'avait donc fait Adam hier soir ? Couché sur le ventre, la joue écrasée sur le sol dur et froid... Encore tombé du lit ? Ça lui arrivait de plus en plus souvent, pff, il lui faudrait penser à se placer au centre de son lit avant de se coucher la prochaine fois.
Il tendit la main, les yeux toujours clos, vers sa table de chevet - qui, normalement, devrait se trouver au dessus de lui - pour y saisir son iPod qu'il laissait toujours à cet endroit avant de s'endormir, impossible de faire autrement, cela faisait parti de sa routine; il n'y faisait jamais exception.
...Sauf maintenant ?
Adam balançait paresseusement sa main dans les airs au dessus de sa tête, à la recherche de la tablette qui visiblement n'était pas à sa place d'origine... L'adolescent ouvrit finalement les yeux, se grattant la tête et baillant. Mais voilà; ce n'était pas sa chambre qui se dressait devant ses yeux, mais une grande pièce rectangulaire pratiquement vide.
Voyons, qu'avait-il fait hier soir ? Ce n'était pas son genre d'aller prendre un coup, alors où était-il, et pourquoi ne se souvenait-il de rien ?
Adam se leva tranquillement, mais anxieusement, balayant la salle du regard. Elle n'était que très peu éclairée par deux ou trois lampes qui longeaient les murs. Un grand nombre de bancs étaient installés au centre du corridor d'ailleurs. En tout cas, son iPod n'était définitivement pas là.. embêtant. Comment allait-il faire pour se concentrer et se souvenir de la veille sans son seul outil de réflexion ?!
On se calme... Il ne peut pas avoir disparu.
Il se retourna pour inspecter le second côté de la pièce. Même aspect, même décors, sauf que... Une femme était couchée sur le sol, exactement comme lui il y avait quelques instants. Heu... So What ? « Adam se réveille dans une pièce vide, remplie de bancs, avec encore tous ses vêtements, son iPod disparu et.. Une femme couchée à ses côté. » Pouvait-on imaginer un scénario plus étrange pour lui qui est toujours puceau ? Peut-être... ou peut-être pas. De plus, la demoiselle était visiblement plus âgée que lui, peut-être avait elle vingt ans... ou même plus ? Enfin, elle était jolie, mais elle n'était pas tout à fait le genre d'Adam... s'il avait un genre. Car mis à part la musique, rien ne semblait réellement l'intéresser.. Pas même les filles.
Il décida de ne pas la réveiller. Si elle voulait dormir, qu'elle dorme. De toute façon, elle n'avait probablement pas vraiment un rapport avec les événements qu'il avait oublié, en tout cas, il ne croyait pas.
Adam continua son exploration pour retrouver à la fois son iPod et ses souvenirs. Il tomba finalement sur une toile relativement macabre; « La mélancolie de Domenico Fetti »... Ça y est ! Il se souvenait ! L'invitation... Le musée... Oui ! Il se trouvait dans un musée, le musée du Louvre ! Sa sœur avait apparemment gagné un billet d'avion pour la France pour une visite nocturne de ce musée. Bizarre, je ne vous le fait pas dire, mais étant donné son emploi du temps chargé, elle avait finalement donné le billet à Adam, lui disant que ça lui changerait les idées de son habituelle routine, et puis, il pouvait toujours mettre ses écouteurs sur ses oreilles si la visite s'avérait trop ennuyeuse...
Et maintenant, il se réveillait bel et bien dans ce musée, à côté d'une femme endormie.
- Cool.... souffla-t-il, sarcastique.
Adam continua d'avancer, se rendant au fond de la salle où se trouvait un second tableau. Mais ce n'est pas l’œuvre qui attira son attention, mais bien ce qui se trouvait sur le banc de velours beige y faisant face : un pichet de verre remplis de sang et ayant éclaboussé la surface du fauteuil... Tremblant, l'adolescent s'en approcha. Ce réveil lui plaisait définitivement de moins en moins. Juste à côté du contenant, un post-it était déposé. Craintif, il s'en saisit, lisant l'écriture saccadée qui indiquait « Je suis là. ».
À la vue de ces deux objets, tout se passa très vite ; Adam se remémora les événements d'hier soir; Un homme sur un écran ayant une voix étrange et un rideau rouge sang se levant pour exposer une scène atroce... Une femme la tête pratiquement coupée.
- Oh... Oh non. Non !
Adam lâcha le papier, effrayé, reculant de plusieurs pas, les yeux grands ouverts. Il vomit par terre, terriblement dégouté par la vision qu'il venait de se rappeler.
- À l'aide !... À l'aide !
Il était collé au mur, fouillant de nouveau nerveusement toutes ses poches, espérant miraculeusement retrouver son iPod; son calmant. Mais non. Non il n'y était pas.
Si ça se trouve, la femme aussi est morte ?!
Il couru maladroitement vers celle-ci, sentant ses jambes défaillir. Adam s'agenouilla devant elle, la prenant par les épaules et la secouant dans tous les sens pour la réveiller.
- Madame ! MADAME !!

Hors RP : Si ça ne va pas, MP moi ! Comme c'est ma première fois ici, je ne sais pas trop comment m'y prendre :/

*Date d'Arrivée : 05/06/2011*

Odorechan se sentit émergé tout doucement, le carrelage froid sous son visage l'extirpait doucement de son sommeil. Soudain un mal de crâne cinglant s'abbatit sur elle! Elle gardât les yeux fermés allongé sur le sol incapable de bouger, ce genre de mal de tête avait tendance a la cloué et à la tétanisé, le froid du carrelage apaisait doucement cette migraine. Elle décidat, toujours les yeux fermé de se concontré sur ce qui se passait autour d'elle. Elle ne semblait pas seule.
-"ça c'est la meilleur! pensa-t-elle.

Soudain les bruits de pas s'arrêtèrent, elle entendit comme une murmure, puis...

-A l'aide!...A l'aide!...

Enfin les pas se précipitèrent vers elle, la personne s'agenouilla près d'elle, lui saisit les épaules et la secoua dans tout les sens en criant:

-Madame! MADAME!!

Ce cri eut pour effet de relancer ses maux de tête. Odorechan plissa les yeux, tout en saisissant sa tête entre ses deux mains.

-Hummmm! , fût tout ce qu'elle pu laisser échapper, alors qu'elle se pinçait les lèves entre ses dents.

Elle lâcha sa tête d'une main, qu'elle dirigea vers le garçon, elle posa un doigt sur ses lèvres. Au cas où il recommencerait à parler un peu trop fort pour sa tête. Elle se redressa et s'installa a genoux le visage vers le sol. Elle redressa tout doucement sa tête, et craintivement ouvrit doucement les yeux.
Il faisait assez sombre dans cette pièce, il y avait des toiles sur les murs, la salle était tout en longueur. Elle scruta les environs pour trouver un détails, un indice qui l'aiderai a savoir où diable elle se trouvait! Son mal de tête encore présent, elle n'arriva pas a se concentrer pour retrouver des ruines de sa mémoire lui permettant de se repérer.
Elle récupéra sa main, qu'elle avait laisser sur la bouche du jeune homme à côté d'elle, glissa ses mains dans ses cheveux pour les remettre en place, ce qui eut pour effet de calmer les palpitations de son coeur. Autant éviter que celui-ci s'emballe!
Elle se décida enfin à tourner la tête vers l'homme qui l'accompagnait. Elle le scruta, il semblait plus jeune qu'elle et plutôt beau garçon. Ce garçon ne lui disais rien, alors comme à son habitude, elle chercha à déterminé ce qu'il pouvait bien ressentir. Ses yeux gris la fascinèrent, elle plongea le sien dedans. Eux qui semblait si dénué de sentiment d'ordinaire, était paniqué. Il était paniqué! Pourquoi? Que se passait-il?
Elle posa ses mains sur ses genoux, et après un dernier coup d'oeil à la salle, elle le regarda fixement, scrutant chaque sentiment, chaque battement de sourcil, et lui dit:

-Mais où sommes-nous? Et qui es-tu?

♂ Mister Virilité

Ouf. La femme se réveillait. Calmement. Elle aussi avait mal à la tête, vu la tête qu'elle avait fait lorsqu'Adam avait crié. Le jeune garçon avait terriblement mal au crâne lui aussi, mais la panique qui l'animait lui empêchait d'y penser.
- Hmmm...
Mais qu'elle idiote ! Elle ne se rendait pas compte ? Elle ne voyait pas qu'ils étaient prit au piège, qu'ils pourraient finir comme le cadavre qu'ils avaient tous vu hier ?
À moins... À moins que...
Terrifié, Adam retomba sur les fesses, soudainement prit de peur. Et si c'était elle la tueuse ? Et si, en la réveillant, il signait son arrêt de mort ?! Il ne l’avait pas vu à la réception d’hier…
Non.. Du calme. Du calme. Toi non plus tu n'avais pas les idées claires en te réveillant. Et puis… Tu n’as parlé à personne.
L'inconnue ouvrit finalement les yeux, elle ne semblait pas voir qu'elle n'était pas chez elle... Enfin, peut-être qu'elle n'avait pas de chez elle, on ne sait jamais. Qui sait si elle n'allait pas de maison en maison, d'homme en homme ?.. Il y avait tout de même des chances que ça soit le cas... Mais bon, Adam était plus jeune qu'elle, et en plus il faisait plus jeune que son âge. Si c'était le... métier de cette dame, elle comprendrait bien vite que ce n'était pas le cas aujourd'hui.
Mais nous nous éloignons, rien ne laissait croire que c'était son cas.

Les yeux de la femme se plantèrent dans ceux d'Adam, elle était encore à moitié endormie. Ça se voyait dans son regard, peut-être même voyait-elle embrouillé. Quoi qu'il en soit, après quatre ou cinq secondes elle sembla enfin sortir de son rêve pour retourner dans la réalité.
- Mais où sommes-nous ? Et qui es-tu ?
Bon.. Elle semblait avoir partiellement compris. Elle voyait bien qu'elle ne se trouvait pas dans un environnement dit "normal" et que l'adolescent était paniqué. Mais encore là, sa voix était calme, et un peu pâteuse. Rapidement Adam, toujours en état de panique, prit la parole.
- Le.. La.. Le musée ! Ils.. Nous.. Le musée, on…. hier !
Du calme. Il lui fallait se calmer. En parlant aussi confusément, il n'arriverait à rien. Adam ferma les yeux et respira profondément, se repassant la chanson Clair de lune, de Beethoven, un moment en tête.
Une fois relativement calme - il n'allait tout de même pas être serein dans les conditions où il se trouvait - il reprit la parole, plus lentement, articulant bien les mots, comme si c'était la femme qui ne comprenais pas, alors que c'était plutôt lui qui n'était pas parvenu à s'exprimer.
- Hier... Nous sommes venu ici.. Au musée. Au musée du Louvre, je veux dire. Et.. Vous ne vous rappelez pas ? Le.. La voix.. bizarre de l'homme.. Sur l'écran. Et puis.. la.. La femme.. Sa tête... coupée..
Il retint la nausée qui menaçait de sortir lorsqu'il prononça les derniers mots.
- Et puis.. On a essayé de s'enfuir. Tous. Tous on a essayé mais.. Les grilles et… Il faut sortir d'ici.
Adam se leva brusquement, fonçant vers l'une des portes; celle donnant vers la salle 9.
Fermée.
- Non !
Le garçon se mit à frapper de toutes ses forces qui l'abandonnait sur la porte, et la tirer sur la poignée.. Rien n'y faisait. Elle ne bougeait pas.

*Date d'Arrivée : 05/06/2011*

Le jeune homme qui l'accompagnait, toujours en panique, commença à bafouiller des paroles qu'Odorechan ne comprenait pas.

- Le.. La.. Le musée ! Ils.. Nous.. Le musée, on…. hier !

Elle essayait de garder son calme devant la panique manifeste du jeune homme, panique qu'elle ressentait de plus en plus présente en elle! Fichue d'empathie! Pourquoi fallait-il qu'elle ressente les émotions des autres lorsqu'elle même devait contenir les sienne. Le jeune essaya de se calmer visiblement. Puis il s'adressa de nouveau à la jeune femme, en articulant bien et en posant sa voix:

- Hier... Nous sommes venu ici.. Au musée. Au musée du Louvre, je veux dire. Et.. Vous ne vous rappelez pas ? Le.. La voix.. bizarre de l'homme.. Sur l'écran. Et puis.. la.. La femme.. Sa tête... coupée..
- Et puis.. On a essayé de s'enfuir. Tous. Tous on a essayé mais.. Les grilles et… Il faut sortir d'ici.

Le Louvre? Une soirée hier soir? Un écran? Une voix? La tête d'une femme?......
Mais oui bien sur, des images assaillirent la jeune femme, des images horribles, des sentiments de terreur, de panique... Tout ça faisait trop pour elle, la tête lui tourna.
Puis elle revit l'image de la femme, la tête coupé..... Elle ne put retenir un haut le coeur! Qui pouvait être assez inhumain pour faire une tel chose? Pour enfermé des gens ainsi?
Elle qui est une fervente amatrice d'art, c'était l'occasion rêver de venir au Louvre. Si elle avait sût.
Non! Elle n'aurait pas pu imaginer une chose pareil, elle n'aurait pas pu l'éviter, personne ne le pouvait. Il fallait mieux en prendre conscience et aller de l'avant pensa-t-elle.
Sortir d'ici, il fallai déjà trouver une sortie.
Soudain le jeune homme, dont elle ne connaissait toujours pas l'identité se leva d'un bon, se précipita vers une porte.

- Non !

La porte semblait fermé à clé. Le jeune homme semblait à bout de nerfs et à bout de forces.
Elle se leva difficilement et se dirigea doucement vers lui. Elle posa sa main sur son épaule:

- Ecoute, je pense sincèrement que cela ne sert à rien. Il nous faut nous poser, prendre le temps de réfléchir à un plan d'action, et aller de l'avant, ne pas rester statique. A bien y réfléchir, on ne sait pas qui nous a enfermé ici. Et qui sait ça pourrait bien être toi. Je pense que tu penses la même chose me concernant non?
Hier nous étions beaucoup plus que seulement nous deux à avoir été enfermé. D'après moi, les autres doivent être quelque part. On pourrait les chercher, plus nombreux on sera! Plus on sera en sécurité tu ne crois pas?
Personnellement, je ne pourrais pas te faire entièrement confiance, alors je préfère autant ne pas rester seul avec toi. En attendant je n'ai pas trop le choix et toi non plus.

Odorechan marqua une pause, elle ne savait pas ce qui se passait dans la tête du jeune homme, elle aurait aimé le savoir tout serai plus simple. Mais ne voulant pas lui laisser tout de suite le temps de réagir, elle continua:

-Je m'appelle Odorechan. Je suis venu ici hier parce que j'adore l'art, j'en ai une grande passion. Ce qui s'est passé m'a secoué autant que toi. C'est d'ailleurs tes mots qui m'ont redonné la mémoire. Une partie de moi aurai voulu l'oublier... autant que toi je pense! J'ai 21 ans. Je suis étudiante. Et toi?

La terreur du garçon lui faisait de la peine, chacun a sa propre manière de se détendre de gérer les choses. Elle s'était l'action. Mais, il ne semblait pas s'en sortir. Ne lui laissant pas le temps de répondre à la première question, elle enchaina:

-Et si je peu faire quoi que se soit pour t'aider à aller mieux, demande moi, ça irai beaucoup mieux si on avait les idées claires tout les deux. Qu'est)ce qui te calme généralement?

♂ Mister Virilité

Alors qu'il se laissait glisser devant la porte, les larmes aux yeux, exténué, Adam entendit les pas de la femme se diriger lentement vers lui. Il ne réagit pas tout de suite, mais reprit rapidement ses esprit, comprenant que la femme pouvait bien être la tueuse, oui, c'était possible. Ils s'étaient réveillés dans la même pièce après tout, de plus, l'adolescent n'avait aucun souvenir d'elle à la soirée d'hier soir... Ses réflexes s'activèrent alors, il se retourna rapidement, tout en se leva, faisant face à la femme. Ouf, elle n'avait pas d'arme; fausse alerte. Mais vaudrait mieux être prudent, après les évènement d'hier soir...
C'en était trop, Adam vomit de nouveau sur le sol, il croyait pourtant s'être complètement vidé l'estomac tout à l'heure.. Heureusement que l'inconnue n'était pas trop prêt, car il aurait bien pu tacher sa robe de soirée. Enfin, ce n'était pas vraiment le plus important pour l'instant ...
Elle se mit alors à lui parler calmement, proposant de trouver les autres. Elle gardait tout de même ses distances, oui c'est vrai qu'un garçon qui vomit partout ce n'était pas vraiment attirant. D'autant plus qu'il y avait une mince possibilité que ce soit un dangereux psychopathe meurtrier.. Et c'est d'ailleurs ce qu'elle insinua dans son discours. Qu'elle considère la possibilité qu'il soit un assassin le blessa, mais Adam se fit à l'idée. Après tout; lui aussi n'écartait pas la probabilité qu'elle soit la source de ce cauchemar.
- Je m'appelle Odorechan. Je suis venu ici hier parce que j'adore l'art, j'en ai une grande passion. Ce qui s'est passé m'a secoué autant que toi. C'est d'ailleurs tes mots qui m'ont redonné la mémoire. Une partie de moi aurai voulu l'oublier... autant que toi je pense! J'ai 21 ans. Je suis étudiante. Et toi ?
Mais... Je m'en fou ?
Pourquoi lui disait-elle tout ça ? Croyait-elle que de connaître sa vie rassurerait Adam ? Non. Pas du tout. C'était même plutôt louche. En fait, plus elle parlait, et plus l'adolescent la trouvait douteuse. Sa réaction n'était pas... normale. Pour couronner le tout, elle enchaîna, ne lui laissant pas le temps de répondre, ce qui laissa le garçon amer.
- Et si je peux faire quoi que ce soit pour t'aider à aller mieux, demande-moi, ça irait beaucoup mieux si on avait les idées claires tout les deux. Qu'est ce qui te calme généralement ?
Adam commença à avancer vers la porte qui se trouvait près de lui à son réveil, tout en répondant partiellement à la fameuse "Odorechan".
- Je m'appelle Adam, et j'ai 16 ans.
Sa réponse était courte, certes, mais il n'avait pas trop envie d'élaborer sur ce qu'il était et d'où il venait. De toute façon, ce n'était qu'une tonne d'info inutile servant à détendre l'atmosphère. Oui mais... L'atmosphère ne se détendrait pas pour aussi peu, désolé, mais c'était un fait.
Arrivé devant la grande porte de bois, il mit des deux mains sur la surface vernie avant d'ajouter ;
- Et... La musique. La musique me calme.
Il poussa brusquement la porte qui s'ouvrit facilement et suivant son mouvement, pénétra dans la pièce.

[Passage à la salle 6]

*Date d'Arrivée : 05/06/2011*

Le jeune homme ne semblait l'avoir écouter que d'une oreille. Ce qui eut tendance à l'agacer. Après elle ne cherchait qu'a détendre autant que possible l'atmosphère. Il se dirigea vers une porte et dit:

- Je m'appelle Adam, et j'ai 16 ans.
Et... La musique. La musique me calme.

En effet il était plus jeune qu'elle. Et pourtant il semblait plus vieux, plus mur.
Elle ne retint pourtant qu'une chose: La musique. La musique l'apaisait.
Elle se remuait les méninges pour en faire quelque chose qui pourrait l'aider à se calmer. Qu'ils puissent avancer.
Mais avant même qu'elle puisse faire quoi que se soit, il poussa sur la porte qui céda, et s'ouvrit.
Elle y vit un espoir, un espoir de sortir de ce cauchemar.
Mais ce qui suivit la déçu, avant même qu'elle puisse sauter de joie et partager tout ceci avec Adam. Celui-ci se précipita dans l'autre pièce sans ne serais-ce que lui accorder un regard, une parole... rien!
S'en était trop, beaucoup trop. Tout en lui, prouvait à Odorechan, qu'il la soupçonnait et qu'il ne ferais pas même un effort pour communiquer avec lui. Elle aussi était dans ce cauchemar. Une larme coula sur sa joue, une larme de détresse, une larme de souffrance, et de colère. En l'essuyant elle remarqua dans le creu de son coude, un code barre, comme un tatouage... Mais comment s'était arrivé là? Qu'est-ce que cela pouvait vouloir dire?

En tout cas puisque le jeune homme semblait ne pas vouloir lui faire ne serais-ce qu'un petit peu confiance, histoire de ne pas vivre ça seul.
A moins qu'il avait tout intérêt à être seul après tout. Et qui aurais le plus besoin d'être seul?

Tout ce qu'elle savait c'est qu'elle ne voulait pas avancer seule. Il fallait trouver d'autre personne. Beaucoup d'autre personne. Ne pas être seule.

Elle ravala sa fierté, sa colère et avança derrière Adam.

(Passage vers la salle 6)

Invité · **Invité**

[Arrivé de la salle 9 ♥]

Alex' entra, doucement, pour éviter de se faire remarquer. Peu être n'était-il pas censé sortir ? Non, peu probable, sinon qu'est que vient faire le code barre dans l'histoire ? Mais c'est ce petit doute qu'avait le garçon au cheveux blanc qui rendait la situation très inquiétante.
La salle comportait quelques points de ressemblances avec celle où il s'était réveillé, même tapisserie, même bancs au milieu. Seul la forme de la salle et les peintures (moins nombreuses mais tout aussi macabres) était différentes. Alexander n'osa pas parler, peur de se faire voir pour quelqu'un de pas très bien attentionné.

Rapidement il vu qu'il n'y avait rien d'extraordinaire, et surtout, qu'il n'y avait personne. Il se retourna de temps à autre pour espérer que personne ne le suive, sauf peu être les deux autres filles, qui faisaient je ne sais quoi.
Après avoir parcourut une bonne partie de la pièce, il vit deux portes, sur un même coté du mur. Et au coin, de la salle, un post-it, et à coté, un pichet de... Vin ? Alexander s'approcha, doucement, comme toujours, et plongea son doit à l'intérieur. Non, ce n'est pas du vin, en tout cas, ça n'a pas la texture. Il mis son doit sur sa langue... Ce goût... Du sang ! Le mec qui avait fait ça était un gros malade, de remplir un pichet entier de sang. Ensuite, il décolla le post-it. On y voyait écrit « Je suis là ». Ted réfléchit à l'utilité que pouvait avoir deux objets comme cela dans cette situation.
Alex' chiffonna légèrement le post-it et le mit dans sa poche.

[08] Pièce 8 - La Peinture à Rome, Naples et Gênes. Posq

Il n'y avait rien d'autre dans la salle. Sauf peu ^etre des toilettes. Mais Alexander ne s'y était pas vraiment intéressé. C'est surtout parce que ce genre d'endroit es assez flippant. On ouvre une porte, et un tueur nous saute dessus. Donc même pas en rêve, si vraiment il avait une envie présente, il irait. Au moins, il savait où elles étaient.

C'est donc, avec toujours autant de peur et appréhension que notre cher ami se dirigea vers l'autre porte, pour explorer un peu les environs.
Les deux filles derrière lui ne les avaient toujours pas rejoins.

[passage en salle 6 ♥]

♠ Harley Queen ♣

De la salle 9.

Heu... j'y vais, si vous voulez me rejoindre, faites vous plaisir. Moi je supporte plus d'être enfermé ici!

Je vais aller faire un tour par là-bas aussi et je pense que tu ferais mieux de nous suivre. Je n'ai pas spécialement envie de te savoir seule ici!

Alexander! ... ALEXANDER!!! Où es-tu???

Passage à la salle 6