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 [KohDoubta] La Plage

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Le Lapin Noir
✟ La Mort
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Le Lapin NoirDate d'Arrivée : 13/02/2011
MessageSujet: Re: [KohDoubta] La Plage   [KohDoubta] La Plage - Page 5 I_icon_minitimeMar 22 Nov - 22:39

Jack a bien fait de passer, il y a de la nourriture à volonté...


Félicitations Shark, tu es mort !
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Le Lapin Noir
✟ La Mort
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Le Lapin NoirDate d'Arrivée : 13/02/2011
MessageSujet: Re: [KohDoubta] La Plage   [KohDoubta] La Plage - Page 5 I_icon_minitimeVen 25 Nov - 23:56

Quand y en a plus, y en a encore... Un nouveau corps se présentait à Jack, venant une fois de plus satisfaire son appétit de... Loup...


Félicitations Jean-Sébastien Wolfe ! Tu viens d'être tué par le Lapin Noir!
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Le Lapin Noir
✟ La Mort
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Le Lapin NoirDate d'Arrivée : 13/02/2011
MessageSujet: Re: [KohDoubta] La Plage   [KohDoubta] La Plage - Page 5 I_icon_minitimeLun 28 Nov - 20:24

Alors que Jack pensait en avoir finit avec son repas, il venait de se trouver un dessert à son goût. Il avait beaucoup, beaucoup mangé, mais cela ne lui suffisait pas. Il voulait plus de sang...


Félicitations Adam White, tu es mort, tué par Jack!
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Soleyne
So' Maléfique
So' Maléfique
SoleyneDate d'Arrivée : 17/04/2011

▬ Carte d'Identité*
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MessageSujet: Re: [KohDoubta] La Plage   [KohDoubta] La Plage - Page 5 I_icon_minitimeMar 29 Nov - 18:35

[campement des rouges]

Un os de dinosaure ? Non, pas possible, ici. Alors une branche d'arbre ? Mais qu'est-ce qu'elle en ferait bon sang ? Qu'est-ce que c 'était que toutes ces choses qu'elle croisait sur le sol, depuis tout à l'heure ? Qu'est-ce que c'était que ces trucs bizarres, qu'elle voyait ? En fait... c'était des os humains. Car sur la plage, aux abords du campement principal sur lequel ils avaient échoué, il y avait des cadavres. Des cadavres humains, de personnes qui, il y a quelques heures, étaient encore vivantes. Ça faisait drôle de les voir là, comme ça, ici. Les lieux étaient si calmes, et eux si... morts ? Comment étaient-ils arrivés à cet état-là ? On ne mourrait pas comme ça, d'un coup, subitement, sans prévenir. On ne mourrai pas comme ça... .

Ici, au moins, c'était calme. Alors elle ferma les yeux à nouveaux, et se concentra de nouveau sur son objectif. Savoir ce que ça faisait, c'était le but ultime de sa carrière. La seule chose que personne n'avait encore pu atteindre, alors... maintenant, elle devait le faire. Elle devait le faire puisqu'elle n'avait pas encore eu de réponse, jusque maintenant.

Elle re-bloqua sa respiration. Un temps. Deux temps. Trois temps. Quatre temps. ... un autre temps, et encore un, mais tout le temps de dire ouf qu'elle lâcha prise. Non, ce n'était vraiment pas bon ! Elle soupira et recommença.

Un temps... deux temps... trois temps...
Rien à faire, son contrôle lui réchappa.

Une seconde fois ? Mais là encore, elle ne pouvait vraiment pas. Non, ça n'allait pas, ça n'allait pas du tout ! Allez, encore un effort ?

Un silence. Un rien. Un brin de vent. Un murmure. Un vide. Un chant. Un néant. Mais pas de mort. Pas de mort et pas de larmes, tout juste de quoi avoir envie de respirer encore une fois à pleine gorgée.
Ça n'allait pas, mais vraiment pas... !

" Bordel, mais j'y arriverai jamais ! "

Elle se leva d'un bond et s'approcha d'un arbre, dont elle tira les branches aussi fort qu'elle le pouvait. Toutes ces années de bons et loyaux service à étudier la médecine et la pathologie humaine, ça allait lui servir à quoi, si elle ne savait pas ? Ne saurait-elle donc jamais ; une aussi simple réponse ne pourrait-elle jamais être découverte ? Tant d'années d'exploration pour quoi ? Pour une si petite minable et pittoresque vie ! Mais non ! Jamais ! JAMAIS !

La branche céda. Elle tomba en arrière sous le choc, mais qu'importe ? Elle se releva sans rien en penser, et scruta les horizons. Rien en vue, mais alors c'était quoi ce bruit qu'elle venait d'entendre ?

Elle s'approcha, et renifla presque l'air, tant elle voulait trouver la source du bruit. N'était-ce pas là quelqu'un qui pleurnichait de toutes ses pauvres petites larmes ? Ah mais elle le trouva, le malheureux ! Assis derrière un gros rocher, la mine toute grise de terre, et les larmes creusaient ses joues comme des tranchées, laissant une trainée dans la mare de boue qui saillait son visage. Dieu qu'il était pitoyable ! Mais qu'il arrête de pleurer, bon sang !

Elle lui asséna un coup de branche dans la figure, et le jeune homme vociféra une nouvelle plainte qui transperça le cœur de Soleyne, comme si on venait d'essayer de rendre pure une pomme depuis toujours empoisonnée. Ça ne fit que la rendre encore plus enragée, et elle asséna le jeune homme d'un autre coup de branche, et encore un autre, et encore un, comme si toutes les tentatives qu'elle avait essayées en vain pour savoir comment c'était, de ressentir sa mort, allaient être fructifiées sur lui.
Un coup, deux coups, trois coups, il en pleuvait, et plus il pleurait, plus elle s'énervait, plus elle s'évertuait à le frapper dignement.

Bientôt sa branche ne suffit plus, il fallait prendre quelque chose de plus lourd. Un caillou de la taille de son joli fessier apparut comme par enchantement dans son champ de vision : elle venait de remarquer la chose. A deux mains, elle l'empoigna, et c'est en lui criant des :

" Mais arrête de pleurer, bordel ! Arrête ! "

qu'elle lui asséna de violents coups de rocher dans la figure. Une arcade sourcilière explosa, puis une autre. Le sang commençait à colorer la pierre et à couler le long des joues noircies du jeune homme, qui prirent bientôt la teinte du vin pur rouge. Un coup, deux coups, trois coups, elle entendit quelque chose craqueler sous ses mains, alors qu'elle frappait de plus en plus fort, hurlant de plus en plus haut.

" Tiens ! Tiens ! Imbécile de crétin d'enfant ! "

Quelque chose cédait dans cette boîte crânienne, mais la folie, à l'instant, n'aurait su lui expliquer quoi. Elle s'enfonçait un peu plus à chaque fois dans son crâne, et il ne resta presque plus rien après quelques coups.
Elle donna un autre élancement de bras, et sentit comme quelque chose s’affaisser sous elle. Les coups pleuvaient, et la force lui manqua peu à peu. Elle donnait encore des coups, de moins en moins fort, tandis que le corps était déjà réduit en morceaux, sous son corps penché. Elle donna un coup. Et puis un autre. En encore un autre. De moins en moins vite. De plus en plus dur. Et enfin, ce fut le dernier. Elle respirait trop vite, maintenant, pour pouvoir faire quoi que ce soit. Elle avait fini. Elle se sentait mieux.

" Aaah ! "

La pierre encore entre ses mains, elle dégagea son champ de vision de sorte de voir ce qui gisait sous elle. La boîte crânienne avait été entièrement réduite en bouillie. Il ne restait plus rien de cet homme qu'un corps sans visage, sans tête. Des morceaux de cervelas avaient volé un peu partout. Elle ne s'en était pas rendu compte, mais elle en avait même dans les cheveux. Le sang lui avait recoloré le teint. Elle lança la pierre sur sa gauche, et remis une mèche de cheveux derrière son oreille.

Bien, maintenant, il ne pleura plus !

Elle s'avança sur le rocher, et s'y assis. Ses jambes immenses commençaient à peser lourd.. Elle prit donc une pause, face à la mer. Le vent lui secouait la tignasse. Elle ferma les yeux.
Oui, c'était vraiment calme, ici.




Dernière édition par Soleyne le Lun 12 Déc - 2:29, édité 2 fois
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MessageSujet: Re: [KohDoubta] La Plage   [KohDoubta] La Plage - Page 5 I_icon_minitimeMer 30 Nov - 15:30

[arrivée de l'île des jaunes]

Elle était passée par les montagnes, grimpant sans penser à la chaleur, à la peur, à la soif, la faim. Elle montait simplement, pour trouver le dernier élément nécessaire à la fabrication de l'antidote de Walter. Cependant, à mi parcours, elle qui avait commencé son ascension seule, sans l'aide de sa supposée "équipe", vit arriver la jeune femme avec qui elle avait rapidement échangé quelques paroles sur la plage, après leur débarquement sur cette île maudite, quelques jours auparavant.
Elle était venue la prévenir que continuer était inutile. Il était mort. L'adolescente ne réalisa pas. Elle se contenta de hausser les épaules et reprendre sa montée. Pourtant, la phrase d'Odorechan tournait en boucle dans son esprit.
Un pas. Deux. Mais pas trois.
Elle s'arrêta net et serra les poings. Ca y est. Elle comprenait. Elle ferma les yeux, barrant le passage à un flot d'émotions. Une traînée d'eau sale qui emporte tout sur son passage, un raz-de-marré de colère, haine, tristesse, peur. Folie. Plutôt mourir que l'admettre, mais cela ne faisait aucun doute, peu à peu, elle perdait pieds. Ses efforts pour occulter les nombreuses tragédies qui avaient eu lieu en si peu de temps la conduisaient irrémédiablement vers la folie. Elle le sentait au plus profond de son être. Elle le sentait mais elle refusait de l'accepter.

~*Je suis plus forte que ça*~ se répétait-elle.

Illusion.
Elle eut beaucoup de mal à se calmer, énormément de mal même. Et lorsque ce fut fait, elle n'afficha qu'un air des plus glacial, son regard sombre lançant des éclairs. Une colère muette avait pris le dessus. Sans un regard pour Odorechan, elle tourna les talons et revient au campement. Là non plus, elle ne prêta aucune attention à ce qui se passait. C'était inutile. Il n'y avait personne. Que des corps étendus sur le sable.

Faisant fi de ce macabre spectacle, donc, elle reprit la passerelle en direction de la plage principale. A quoi bon rester seule sur une plage peuplée de cadavres? A quoi bon en rejoindre une autre, également? A quoi bon vivre, si ce n'était que pour finir seule, sans aucune présence de secours?

Au fur et à mesure de ses pas, la réponse se dessina dans son esprit. Une image prenait forme. Un sourire. Le visage de sa mère. Celui de son meilleur ami. Ceux de sa petite bande. Tous ensembles. Si ce n'était pas pour elle qu'elle luttait, alors ce serait pour eux, pour leur éviter la peine que pourrait peut-être leur causer sa disparition. Pour sa mère, c'était certain. Elle avait subi tant d'épreuves pour sa fille que la savoir morte à cause d'un stupide jeu lui aurait été insupportable. Crystal le savait depuis longtemps. On ne lui avait pas dit. Mais on lui avait fait comprendre. Très simplement. Par une longue étreinte.

Elle qui n'aimait pas les effusions, elle regrettait de ne pas pouvoir se blottir au creux des bras réconfortants de ses proches. La solitude qu'elle avait tant recherché n'était finalement qu'une illusion de bonheur. Elle ne voulait plus. Elle voulait simplement rentrer chez elle et oublier ce cauchemar.

La jeune fille à la chevelure corbeau était maintenant au beau milieu de la plage principale, celle où elle s'était réveillée en compagnie des autres naufragés. D'ailleurs, qu'en était-il de la seconde moitié? Celle qui portait les brassards rouges? Etaient-ils tous morts, eux aussi? S'en étaient-ils mieux sorti? Les questions glissèrent sans sortir Crystal de la torpeur qui l'enveloppait. A ce rythme-là, elle ne vaudrait pas mieux qu'un zombi dans peu de temps. Pas au point de vue physique car elle avait trouvé de quoi survivre, mais au niveau psychologique, bien entendu.

Peut-être que la tâche sombre qui grandissait à vue d'oeil était sa porte de salut? Qui était-ce? Une nymphe mirant son reflet dans les eaux salées? Non... Une nymphe n'aurait pas cette allure torturée.
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Soleyne
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SoleyneDate d'Arrivée : 17/04/2011

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MessageSujet: Re: [KohDoubta] La Plage   [KohDoubta] La Plage - Page 5 I_icon_minitimeJeu 8 Déc - 0:56

Erydrin n'avait pas vue Soleyne, apparemment, car si elle l'avait vue, elle n'aurait pas gardé ce visage aussi paisible. Quoi qu'il en soit, elle était au milieu de la plage, seule, et Soleyne se demandait ce qu'elle pouvait bien faire là.
Elle se demandait, oui. Simplement. Car au fond, elle s'en moquait royalement, mais l'esprit était toujours occupé par quelque chose, jamais bien vide, et en ce moment, il était occupé par l'arrivée de la jeune fille, puisque désoccupé de tout le reste.

Oui, le temps que Soleyne avait passé sur son rocher, au calme, seule face à la mer et au vent l'avait quelque peu calmée. Et donc maintenant, elle pouvait aisément se distraire du reste, tout en oubliant sans état d'âme ce qu'elle venait de faire.
Oh, elle ne pouvait pas oublier, puisque le corps gisait à ses pieds, et que l'odeur, bien qu'elle en ait l’habitude, était assez étouffante. Mais le décors l'aidait à puiser dans ses ressources pour trouver la sérénitude, et donc, en ce moment, elle était parfaitement calme.
D'ailleurs, elle ne se retourna même pas pour interpeller la demoiselle qui se trouvait quelque part, assez loin, derrière elle. Que lui aurait-elle dit ? Qu'aurait-elle fait, à part la regarder en attendant que ça passe ?
Oui, c'est ce qu'elle allait faire : attendre que ça passe. Encore. Jusqu'à ce qu'elle sente l'envie monter en elle d'aller se laver, et ensuite, de rentrer au campement. Elle n'avait pas peur. Non. Elle savait bien qu'elle devrait avoir peur, ici. Les gens tombent, et elle aussi pourrait tomber. Mais elle resta parfaitement calme face à tout ceci. Si elle devait mourir, et bien elle mourrait ici, dans le calme, et le silence. Dans le froid d'un vent de mer, en face de son propre cadavre. Et c'était bien comme ça.
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MessageSujet: Re: [KohDoubta] La Plage   [KohDoubta] La Plage - Page 5 I_icon_minitimeMer 14 Déc - 11:51

Elle s'approcha de la silhouette. Et plus elle s'en rapprochait, plus elle avait la sensation de se rapprocher des portes de l'enfer. Sans connaître encore la cause de son malaise, trop loin pour comprendre ce qui venait de se jouer sur ce bout de plage, Crystal ne parvenait pourtant pas à s'ôter la vision d'un ange noir attendant bien sagement un naufragé à emporter dans les abysses de la mort.

Elle s'approcha encore de cet ange. Et il prit bientôt des traits humains, celle d'une jeune femme qu'elle avait rencontré quelques jours auparavant. Comment s'appelait-elle déjà? L'adolescente ne savait plus. Elle baignait toujours dans cet étrange état qui semblait séparer son esprit de son corps, fatigue peut-être, aussi bien mentale que physique.

L'enfer se dessina doucement pour la réveiller.

Une odeur âcre tout d'abord parvint à ses narines. Une odeur ferreuse qui prenait à la gorge. Rapidement, la jeune fille eut l'impression d'avoir du sang dans la bouche. La sensation était si réelle que Crystal porta une main à ses lèvres, vérifiant avec un soubresaut de lucidité inquiète si elle ne s'était pas blessée. Rien. Pas de liquide carmin sur sa peau de neige.

D'où venait donc cette odeur pestilentielle?

L'ange noir gardait son regard porté sur le lointain, comme une statue. Une gargouille effrayante, dominant une église pour la rendre effrayante même en plein jour.

Cimetière.

Crystal se figea. Envolée la torpeur, envolé la douce rêverie que s'endormir, ici et maintenant sur la plage la ramènerait chez elle, envolé le désir de mourir. Un horrible spectacle se déroulait devant ses yeux. Un corps, sans tête, baignant une flaque rouge que le sable absorbait déjà.

Les jambes de la demoiselle cédèrent soudainement sous son poids, la laissant ressentir la brûlure du sable chaud. Elle se sentait partir, tourner de l'oeil alors que son estomac se révulsait. Elle ne vomit pas. Elle ne pleura pas. Elle ne cria pas. Elle ne bougea pas. Incapable de se détourner de cette scène, elle arrivait presque à distinguer des bouts de chair sur le sable, des fragments de boîte crânienne ici et là.

En état de choc.

Lorsqu'elle ouvrit les yeux, elle ne vit que le ciel bleu au-dessus de sa tête. Elle avait rêvé. Elle ne pouvait qu'avoir rêvé... L'odeur parvenait toujours à son nez mais elle refusa d'y croire. Elle refusa de voir à nouveau une telle horreur. Ce n'était pas la réalité. Point. Elle se releva, sans voir le corps, lui tournant le dos.

~ Il faut que j'y aille... lâcha-t-elle, laconique à l'adresse de l'ange noir, qu'elle ne vit pas non plus, pensant avoir rêvé ce détail aussi.

L'adolescente repartit alors, plus vigoureuse malgré tout qu'à son arrivée pour se diriger vers sa nouvelle île. Et même si elle ne le disait pas, elle appréhendait la nouvelle rencontre avec l'équipe adverse. Elle n'avait aucune idée de ce qu'ils pouvaient bien être...

[direction l'île des rouges]
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