Mal de crane et langue pâteuse , pas de doute , gueule de bois ! Derrière ce slogan morbide se cachait l'humour merdique d'un américain pas doué , assassin qui allait bientôt payer le prix de son péché , vous l'avez reconnu , c'est notre meurtrier victime du destin : Max Taylor !

Notre cowboy se réveilla tant bien que mal dans une pièce mal éclairée et réussit à distinguer un message au plafond "YOU'RE GOING TO DIE" , un moment il crut qu'un foutu malade avais décidé de le séquestrer pour son crime , mais une sensation mouillée le réveilla pour de bon , son front était couvert de sang , l'écriteau gouttait et son crane chauve était couvert de sang....

" What the fuck... "

"Bien dit !"

Il se releva ,et observa l'homme debout :



"Qui est la ? Répondez , c'est mal éclairé !"

Il déchira un paquet de faux-yeux, quand il est anxieux , Max se venge sur les sucreries ... il en avale un , puis un autre et avale un truc qui a un drôle de gout , un gout de viande ... il recrache et regarde qu'il mâchonnait un oeil mais un vrai cettte fois , il dégueule tout :

"Beuuuaaaarg pu**** de b***** de merde fait chier , sal****** de bonbon de mes c****** . c'est dégueulasse , quel est l'empaffé qui m'a a traîné ici ? Y'avait un vrai oeil dans les bonbons ! Ce type est taré !"?

A peine 10 minutes se sont passées depuis son réveil. Et c’est après avoir du faire face à une première étape en solitaire, Sway est actuellement à la recherche de sa liberté. Mais elle ne s’attendait pas à entrer d’aussi plein pied dans un cauchemar…

Devant elle, c’est le désastre. Une machine semble incapable de rester silencieuse. C’est dans un ‘Bam Boum Bam Boum’ assourdissant qu’elle comprend que personne, non, personne n’aurait pu l’entendre. Pour l’instant, elle est debout face à la porte de sa prison de glace et savoure l’air ambiant. Ici l’air est presque chaud en comparaison de ce qui se tient derrière elle… C’est fou comme elle d’ordinaire si casanière est heureuse d’être dehors aujourd’hui. Quoi qu’en fait non, elle regrette bien d’être sortie de chez elle ce matin. Ceci dit, sommes nous réellement encore le matin de son départ pour la confiserie ? Rien ne peut le dire. Maintenant, elle avance encore, vers la petite lumière du fond, en espérant que cela indique une sortie… Oh oui, enfin une sortie… Le noir englobe tout, elle ne voit rien, ne sait pas. Prudente, elle avance à petits pas. Et puis, elle entend des voix surgir. Une, puis deux. Oui, si elle a bien compté il y a dans cette pièce deux voix et deux voix d’hommes. Persuadée d’avoir été kidnappée, elle cherche à se faire plus petite. Il est possible que ces deux voix viennent en réalité de ses kidnappeurs ! D’autant plus que leur voix est comme voilée par le bruit sourd et répétitif de la machine, si bien qu’elle n’a rien compris des discours successifs des garçons. Rien ? Pas vraiment, les seules paroles qui sont arrivées jusqu’à ses oreilles dans un moment relativement calme furent les insultes, la longue suite de gros mots dont l'un deux s’est servit pour qualifier elle ne sait trop quoi. Et ce bref aperçu du vocabulaire tout à fait fleurit de l’homme ne lui donne aucune envie d’en savoir plus à son sujet. Au contraire, elle redevient l’enfant chétive et craintive. Mais malgré cela, elle ne peut s’empêcher de continuer d’avancer vers la lumière. Le noir, ce noir lui fait trop peur. Ainsi coincée dans la noirceur et les ombres, se sent mal, elle a l’impression d’être un petit gâteau, un bonbon offert aux méchants loups.

Ses petits pas indécis font tressauter les billes qui gisent sur le sol. Son passage n’a rien de silencieux, mais il a au moins le mérite d’être discret. Une petite souris. C’est du moins ce qu’elle aimerait faire croire aux trois garçons. Elle avance encore, de petits pas. Elle ne comprend pas ce qui roule tout autour d’elle. Elle sait qu’il a y des petites choses rondes car elle les a sentis du bord de ses petites ballerines, qui ne doivent d’ailleurs plus être très beiges3. Mais ce qu’elle ne comprends pas c’est pourquoi certain sont mous, d’autres craquant et d’autres vraiment trop dur. Il lui arrive de marcher sur ces choses et elle a pu remarquer ces trois réactions différentes. Étrange… Ce qu’elle sait avec certitude c’est qu’un tel endroit ne doit pas avoir été laissé à l’abandon depuis trop longtemps sinon les rats grouilleraient. Et jusqu’à présent, elle n’en a vu aucun…

Un pas de trop, elle glisse et s’affale. Tombe et se mord de langue violemment. Maintenant, sa couverture et fichue. Elle n’a pas pu retenir un « Aië » qui se voulait rédempteur, mais qui n’a en rien stoppé ni sa chute, ni ses dents quand elles sont entrées dans sa chair. Dans sa tête, elle ne peut s’empêcher de jurer. Merde. Elle s’est fait démasquée comme une bleue. Inutile de dire qu’elle compte les secondes qui lui restent à vive, persuadée que ces ‘agresseurs’ n’en ont pas fini avec elle ! Mais elle ne peut pas s’empêcher de se plonger dans un plaidoyer pour sa vie.

« Me tuez pas ! Pitiè, j’ai rien fait ! J’suis innocente jle jure ! Me mangez pas ! Me coupez pas en morceau, j’dirais rien, j’le jure !! Pitiè !! »

Ridicule réaction pour une ridicule enfant.

notre assassin en repentir regardait la scène , complètement déconnecté , un pauvre petite fille était arrivé , et leur avait supplié de ne pas la manger alors que l'instant d'après , une fille était tombé dans une cuve de guimauve ou elle fut noyée , suite a a ca une dame débarqua a son tour dans la salle, l'air complètement perdue et elle pris finalement la parole :

« Je.. Je.. »

Très fort comme déclaration , très significatif mais Max voyait la suite arriver :

« Vous vous êtes aussi retrouvés ici après une visite guidée de la fabrique de bonbons ? Je m'appelle Juliet et je ne sais absolument pas ce que je fais ici.. J'ai entendu des cris étranges en haut et je ne sais pas ce qui se passe... »

-Moi aussi l'était dans l'usine a bonbons , mais j'ai du m'assoupir et me retrouver ici , j'ai la tête en feu , je vient de voir une fille tomber dans une cuve d'une machine , les premiers mots que j'ai entendu a mon réveil étaient "What the fuck" j'ai avalé par accident un œil et j'ai tout dégueulé , j'ai vu une pauvre fillette me demander de ne pas la manger et la je vous voit vous en train de me demander enfin une question importante : Mais c'est quoi tout ce bordel , alors vous avez mes sincères félicitations , vous avez réussi a apporter quelque chose de concret dans les dix minutes d'horreur pur que je vient de vivre ...

Il soupira un bon coup , c'était enfin sorti ...

-maintenant rentrons dans le vif du sujet , apparemment un type complètement fou nous a enfermé ici dans la ferme intention de nous zigouillez , vu ce qui vient de ce passer , donc la solution la plus logique serait de lui refaire le portrait mais vu que j'ai la délicatesse d'un buffle , cette idée ne plaira surement pas a tout le monde

Max eut a l'instant la révélation , cette personne était suspecte , très suspecte ...

-Mais au fait , pourquoi cette précipitation vers nous ? pourquoi avoir voulu nous rejoindre pour nous dire que vous compreniez rien ? surtout que nous aurions pu être des tueurs alors pourquoi avoir pris le risque d'aller a notre rencontre ? En fait je pense que vous êtes le tueur , vous étiez a l'étage donc vous auriez pu tuer cette pauvre fille et puis descendre pour jouer votre petit cinéma , mais moi je suis pas dupe , je vais calmer vos ardeurs vite fait bien fait !

Il s'avança et lui chuchota a l'oreille

-Mais pas devant la petite , je veux pas la terroriser , je suis pas un monstre , moi !

Il traina la personne vers une pièce a droite de l'escalier ...

(hors rpg :Nivalis , tu nous fait la description de la salle et je poste la boucherie ok ?)

Il avais descendu les escalier lentement. Il ne savais absolument pas où il s'était retrouvé, il fallait donc être prudent. D'autant plus, pendant qu'il descendait, il avais entendu un cri. Y avais t'il eu un meurtre ici ? Serais t'il le prochain ? En tout cas, il faisait tout pour que ce ne soit pas le cas. Il venait de descendre deux escaliers, et il arrivait dans une salle assez mal éclairée, où il distinguait plusieurs masses. Était-ce d'autres personnes ? Il n'en savais rien, et il fallait rester prudent. Après tout, ce pouvais être des meurtriers. Cela dit, il savais très bien se défendre, et il s'était préparé à une éventuelle attaque. Il fallais donc tenter le coup, au risque de tomber sur des fous.

Y'a t'il quelqu'un ici ?

Il se préparait à toute éventualité, même s'il ne risquait pas grand chose. Ou alors il n'avais vu personne derrière lui, et on pouvait l'attaquer par derrière. Mais il avait été suffisamment prudent pour éviter cette situation. Il fallais simplement observer les réactions des personnes présentes devant lui.

[Post pourri je sais, mais sérieusement, j'ai pas d'inspiration en ce moment u.u]

Max ne compris pas vraiment ce qui s'était passé mais du mashmalow commençait a couler a ses pieds !

-Fuyez ! c'est trop pâteux pour que l'on puisse nager dedans ! tous a l'étage vite !

tout en tenant son poignard d'os , il fonça vers l'escalier et y croisa un homme .

-Restez pas ici monsieur ! il y a un drôle de liquide qui est en train d'inonder la pièce de manière inquiétante !

Il ne savait pas pourquoi il lui dit tout ca, après tout c'était peut être un tueur, mais son coté humain avais gagné sur le coté bestial de l'instinct de survie, ca le rassurait au fond car ca prouvait que ce n'était pas un tueur sans pitié et qu'il lui restait encore un coté innocent en lui, pourtant il n'oubliera jamais ce qu'il a fait , et ca le poursuivrai toute sa vie ...

(hrpg: désolé , je n'ai vraiment pas l'inspiration la ...)

Sway n’avait rien compris, absolument rien. Les choses s’étaient enchainées à une vitesse folle si bien que tout lui avait semblé être comme sortit d’un rêve. Ou plutôt d’un cauchemar. Elle s’était ainsi retrouvée à espérer ne pas mourir et supplier ceux qu’elle prenait pour ses détracteurs, ensuite, elle avait du faire face à une scène qui l’avait choquée. Vraiment, choquée. Une fille était tombée du plafond, son cri avait transpercé l’air. Elle était tombée dans une grande cuve, une cuve qui semblait continuellement tournée et mélangée une pâte. Sway n’avait pas observé la cuve d’assez prêts pour connaitre son utilité, elle savait juste que cela avait l’air dangereux. Et son instinct ne lui avait apparemment pas mentit puisque la demoiselle diminua rapidement pour finir broyée. Le bruit des os craquant avait donné à Sway une soudaine envie de vomir. Elle s’était donc lentement rapprochée du mur, les jambes toujours cagneuses. C’est ainsi, une main contre le mur étrangement chaud puisque le sang d’Ellora y avait giclait à grosses goutes, qu’elle recracha son dernier repas, offrant la vision d’un repas presque digéré et son odeur aux personnes présentes.

Elle ne remarqua pas tout de suite que l’attitude avait pris une tournure dangereuse. Se fut quand elle entendit, cette fois-ci assez nettement pour que cela soit compréhensible, les paroles de Max Taylor, qu’elle se fit la remarque que tout n’allait pas bien. Elle remarqua bien que l’ambiance n’était pas bonne. Et elle frissonna de peur comme seule une feuille jaunie par l’automne savait le faire… Elle glissa lentement contre le mur avant de se souvenir qu’elle venait d’y vomir. Elle se décala donc vers un endroit plus sombre, repliant les jambes contre sa poitrine et encerclant ses petits membres d’enfants de ses bras trop grands et bien trop maigre. Elle avait peur. Et elle avait envie de pleurer. Elle ferma les yeux, espérant très fort que le tout passerait mais il fallait bien se faire à la situation : Elle vivait en enfer. Elle avait du mourir sans s’en rendre compte et finir chez Balthazard et Belzebuth sans qu’elle sache comment…

Elle réalisa soudainement que dans son dos, quelque chose de froid, très froid même, coulait. C’était collant, et sucré. Elle ne se releva pas tout de suite et espéra que cela passerait mais il n’en fut évidemment rien. L’intensité de la chose, car il était évident qu’il ne s’agissait pas d’eau, devient plus forte. Il lui sembla évident qu’elle devait fuir. L’homme qui avait hurlé tout à l’heure semblait du même avis qu’elle et il ordonna au groupe entier de fuir. Sway était de son avis. Elle se releva et réalisa que la chose était pâteuse. Ses mouvements étaient difficiles. L’eau était montée jusqu’à ses chevilles si bien qu’à peine eut elle fait quelques pas, elle tomba. Trempées, elle rampa encore, comprenant que nager était absolument impossible. L’eau continuait de monter. Elle glissa, une fois, deux fois, se hissa sur un bras qui s’effondra sous elle. Son coude s’ouvrit et si sous l’effet du choc elle n’eut pas mal, la douleur ne mit que peu de temps avant de se faire ressentir dans ses nerfs. Elle serra les dents, consciente qu’il fallait tout de même avancer… Enfin, elle arriva jusqu’à l’escalier et se hissa difficilement sur la première marche. Son ascension jusqu’au premier étage fut beaucoup plus facile.